Hunger Games
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 FanFiction d'Hunger Games.

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FanFiction d'Hunger Games. Empty
MessageSujet: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 16:10

Alors voilà j'avais dans l'idée de faire une fanfic, où nous serions projeter dans le passé, avec la première édition des Hunger Games. Celà n'est qu'une idée, une hypothèse même. J'ai donc besoin de votre avis.

Oui ou Non ? pale


EDIT : C'est fais, donc voilà les chapitres :

( Je met ici, car j'ai vu que sur google, il y avait un lien direct sur ce topic, et je fais synthèse Wink



INTRO :


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- La Révolte à cesser, annonça une voix grave et calme. Les douze Districts restants sont surveillés. Épiés dans le moindre de leur geste, si une nouvelle révolte serait amenée à ce produire, nous serons en mesure de la stopper avant qu’il advienne quoi que ce soit.

Sa posture droite, et ses jambes serrées ne laissaient en rien voir le désarroi de cet homme. En face de cette longue silhouette noir, dos à son bureau, il était dur de garder son sang-froid. Il ne laissa pourtant aucune marque d’une quelconque peur, et paraissait assuré.
Mais lorsque la silhouette pivota en sa direction, dérivant son regard de la ville en fête, il ne put s’empêcher de frissonné à la vu de son supérieur.
Malgré sa maigreur, il n’avait pas l’air d’un faible. Son physique trahissait qui conque pensait l’abattre de façon simple. Ce n’est qu’une facette. A cet instant, il y a encore des gens qui le redoutent plus que tout. Qui ne pourrait ne pas le redouter ? Ses yeux noirs, ses sourcils froncés accompagnés d’une bouche fine en un rictus effrayant, tout dans ce personnage nous indiquer sa froideur d’âme.
Voyant l’homme le regarder de la sorte, soutenant son regard,le soldat au garde à vous, parut encore plus tendu qu’auparavant.

- Président Teodd ? Dit-il d’une voix mal assurée.
Les espionner ne suffit pas, cria-t-il dans toute la pièce, cognant son point sur la table, il faut leur mettre dans leur petites cervelles que rien, n’y personne ne peut battre le capitole !

Le jeune soldat tressaillit au choc. Que voulait-il dire par là ?

- Nous devons instaurer une terreur sans pareille. Ce qui est arrivé au District treize ne doit en aucun cas se reproduire. Montrons à quel point nous sommes forts et eux faibles !
- Et que compter vous faire Mon Président, dit-il perplexe.
- J’ai plusieurs idées sur la question. Nous pourrions avoir chaque moi, un jour où une centaine de personnes seraient exécutés. Ça leur remettraient les idées en place.

Alors que le Président Teodd se lança dans une rire effroyable, glacial, le soldat ne put plus rester de marbre. Avait-il perdu la tête ? Sacrifier mensuellement des personnes qui n’ont rien à voir avec cette rébellion, c’est de la folie ! En avait-il conscience ?

- Si je peut me permettre,il se racla la gorge, Monsieur le Président, un tel acte ne peut avoir lieux, les populations sont déjà à moitié en famine, notre population chutera ainsi que ses productions. Est-ce là un investissement sûr ?

Le Président s’arrêta de rire. Il lança un regard plein de reproche à son interlocuteur qui frémit sur place. Chacun de ses pas le rapprochant de cet homme qui a eut l’idiotie de le contredire, produit un bruit sourd et résonnant. Une fois devant lui, le Président tourna autour de sa proie tel un félin affamé, faisant tressaillir l’objet de l’attaque.

- Général Yvan, cracha-t-il vulgairement, pensez vous, que moi, le Président, en ai a faire de votre avis. Aussi loin que je me souvienne, je suis le dirigeant de Panem. Instaurer une peur, faire frémir le moindre imbécile d’habitant de ce pays est mon devoir. A moi que vous souhaitiez, mon jeune ami, qu’il arrive à nouveau des catastrophes comme celle de cette révolte ?
- N…non, bien sur que non, mon Président, trembla-t-il.
- Je me douter bien de votre réponse. Cela dit, je n’ai pas l’intention de tué cent personne tout les mois, un humour de politicien je dirais. Ce serait choisir la facilité, Il eut un rire sournois, et je ne choisirait pas de m’abaisser à ce niveau. Nous avons longuement délibéré, avec les conseillers de Panem, la peur doit s’instaurer au plus jeune âge. Nous avons créer, un jeu, qui risque de rassasié les plus affamés. Nous avons créer les “Jeux de La Faim”.








Chapitre I


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Je m’avança dans les décombres de notre ancienne maison. Ma mère m’a dit que ça ne l’importait peu de changer de maison, et que ce serait l’occasion d’en avoir une plus jolie. Je n’ai jamais vraiment compris mes parents. Des centaines de milliers de personnes sont mortes, et ce que vois ma mère, c’est une opportunité de montrer ses richesses. Quant à mon père, son absence nous force à nous contredire et à nous débattre sur la plus petite broutille. Quand ces jeux de gamins cesseront ? Nos voisins, nos amis et nos familles sont mort dans une rébellion des plus sauvage.
Tandis que je passa la porte, je me rendis compte de la chance que nous avons eu. Peu d’habitant du District Un ont été évacués durant la bataille, mais nous avons finit par fuir, et vivre dans une maison abandonnée au milieu de la forêt, à nous nourrir d’opossums. Je me demande encore comment mes parents ont pus survivre sans canapé en cuir de luxe, et un coûteux lustre en diamant véritable. Vivre à la dur, ce n’est pas vraiment pour eux, ils ont été habitués à tellement mieux.
Alors que je continu mon ascension dans un âmas de débris et de cendre, je percuta de mon pied un petit cahier. Les photos souvenirs.. Je le ramassa et tenta de ne pas l’ouvrir. Quel vérité monstreuse va-t-il me dévoiler ? Malgré tout, je l’ouvrit. Une photo de moi, petite avec ma grand-mère. Elle n’a pas survécu. La suivante me montrer avec Alexis, un ancien camarade, mort dans une fusillade au front. Les photos des amis et familles victime de cette guerre continuèrent. Une larme coula sur ma joue brûlé, et abîmé par la vie en misère, et puis deux, jusqu’à ce que je me retrouve assise par terre, tenant mes jambes et sanglotant librement.

- Je suis rentrée, Maman, dis-je.
Elle se précipita sur moi, me regardant d’un air froid et supérieure. Les jours dans la forêt ne l’ont pas rendus meilleure. Son ton était tranchant, me laissant toute les chances de croire que j’allais être critiquée et insulté pendant de bonnes heures.
Alors qu’elle s’apprêta à parler, son visage se détendit, et elle me fit un sourire effroyablement forcé :

-Ashley, où étais-tu ? Dit-elle sur un ton mielleux. Ça n’a pas d’importance, il faut te préparé pour aller à la moisson.
- Je n’ai pas l’intention d’y aller.
- Tu n’as pas le choix, jeune fille, fit-elle dans un petit cri aigu, tu as 17 ans, tu as l’âge d’être sélectionné ! Peut-être même que notre fille sera, sans aucun doute, la première gagnante des Hunger Games, quel chance. Espérons que tu sois tirée !

Espérons ? Certes, j’espérais, mais plutôt de ne pas être tiré au sort sur la place, pas d’être mise dans un jeu meurtrier, et encore moins de gagner, mais plutôt, si c’était le cas, de survivre.
Cependant, je ne dis rien, car ma mère ne pourrait plus m’écouter maintenant qu’elle imaginé ma future victoire. Je monta donc dans la salle de bains, et pris une douche relaxante étonnamment froide. Chaque goutte qui claquaient sur mon corps étaient un rafraîchissement total, mais dès lors où je sortis de la douche, mon anxiété repris. Je m’habilla donc, mais contrairement aux indications de ma mère, en tenue quotidienne, et non pas en robe de bal comme elle l’aurait souhaité. Je fis une queue de cheval avec ma longue chevelure ondulée blonde, et me regarda une dernière fois dans la glace. Ce que je voyait était une fille banale, blonde au yeux marrons, avec une bouche trop fine et des joues creusées. Je n’avais rien d’une gagnante, loin de là. Je défendit donc à l’appel de ma mère. Le moment était arrivé.

Ma mère me poussa afin d’accélérer mon allure, en vain. Une fois sur la place, je fus encore frappé par les changements de la bataille. Malgré celle-ci, les statues en or restaient intact, tandis que les dalles au sol étaient brisée et nous faisaient trébuchées. Les statues étaient donc, plus importante selon le Capitole, que l’état des rues. Une fois arrivé à mon rang, je me glissa dans la file, le cœur battant à la charade.
Nous patientèrent un quart d’heure, avant que Mark, l’animateur du District nous fit l’honneur de sa présence. Voulant rendre hommage au luxe de notre District, bien que nous ne pouvons même pas bénéficier d’un sol correct, il était habillé d’or et gris, sa chevelure blonde platine à la limite du blanc, accompagné d’un teint trop orangé qui ne mettait pas du tout ses yeux gris en avant. Le Capitole ? C’est ça. Des gens superficiels, narcissiques, extravagants et obsessionnels. Alors qu’il s’avança vers le micro, les bruits s’atténuèrent dans la foule :

- Bienvenue, Mesdemoiselles, et Messieurs. Aujourd’hui est un très, très, très grand jour, il eut un rire ridiculement aigu, en effet, après l’accord du président Teodd, les Hunger Games peuvent officiellement commencé.

On pouvait entendre le moindre battement de cœur de chaque jeunes enfants dans les rangs, priant de ne pas être pioché. Je faisait partis de ces jeunes enfants. Nous sommes trop jeunes pour ça, nous ne sommes pas prêts, et nous ne le seront jamais !

- Il a été décrété que chaque année, à compter de ce jour, que les douze districts de Panem, feront offrande de deux tributs, d’un jeune garçon et d’une jeune fille, de douze à dix-huit ans, afin de leur apprendre à combattre ainsi qu’à l’art de la survie. Nous allons donc venir au moment que vous attendez tous, la sélection des tributs.

J’avais envie de vomir, je ne me sentais de moins en moins bien, et ce dès qu’il s’approcha des urnes. J’avais 6 papiers dans cette urne. Urne, qui n’était pas très pleines étant donné les pertes de la guerre.

- Nous allons commencé par les garçons, s’esclaffa-t-il.

Il mit sa main parfaitement manucuré dans l’urne, que l’on pouvait voir sur le grand écran de la place, installer récemment. Je ne pouvais prier pour aucun de ces jeunes hommes. Je n’en connaissait pas un seul, étant donné que mes amis étaient rebelles.. Il retira un morceau de papier parfaitement plié et l’ouvrit avant de nous annoncé :

- Et le tribut mâle , qui aura l’honneur et la chance de participé à ces premiers jeux est .. James Caperon !

L’image de l’écran se portant sur un jeune garçon qui devait avoir, à tout casser, quinze ans. Ses cheveux roux étaient parfaitement coiffés, et ses yeux vert reflétés un manque d’assurance total. Il transpirait et sa lèvre produisait un tic nerveux dût à sa frayeur. Malgré ça, les parents du jeune homme, se levèrent et applaudissèrent avec entrain.

- Félicitation mon garçon, dit Mark sur un ton sincère, tu as de la chance, tu seras peut-être notre vainqueur pour cette Première Edition ! Passons maintenant à nos charmantes demoiselles…

… La quelle se fera exécuté en direct live devant tout Panem.. Je ne pouvais plus tenir. J’attendais la fin de cette sélection avec impatience, cependant, je ne pouvais que ressentir de la peur à l’idée que le bout de papier que venait de pioché Mark soit le miens.

- Et notre tribut femelle, qui aura l’honneur de participer à la Première Edition des Hunger Games est… Ashley Martin !Je tremblait de tout mes membres, ne pouvant faire un pas. Un Pacificateur me pris par le bras et me poussa vers l’estrade. Mes parents, eux sifflèrent, et montrèrent leur fierté à avoir la premier participante du district au Hunger Games.
En montant les marches de la scène qui me parut interminable, je vis que les caméras c’étaient braquées sur moi, et que malgré ma peur, reflétait une jeune fille de 17 ans, la chevelure blonde ondulé, aux lèvres minces et sévères, aux yeux marrons brûlant d’envie. Les gens me verrait comme ça. Comme une bête qui as souhaité pouvoir montrer à quel point sa soif de sang causerait la perte de jeunes personnes. Aurai-je envie d’y participé malgré moi ? Non ! Rien que de voir le visage de James, je me sens déjà incapable de tué. Je ne tuerai pas, je me laisserai mourir ! Plutôt crever que d’assassiner.

- Félicitation à toi Ashley, et, puisse le sort, t’être favorable.






Chapitre II


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Je m’avançai dans l’allée de la gare, entourée de caméra fixant mon visage et le moindre de mes émotions. J’aperçois un peu plus loin, mon père et ma mère, émus et ravis me montrant de leur doigts manucurés en criant : C’est ma fille.
Je n’ai pas eu le droit de leur parler avant le départ, ils trouvent ça trop sentimental. Derrière moi se trouve James, qui depuis quelques minutes prend goût à sa célébrité soudaine et semble même en joué. Une fois devant le train déprimant de couleur grisâtre, un Pacificateur me fit une légère pression dans le dos afin que je m’avance. Je m’exécute, sans même un regard pour la foule qui scande mon nom, ce n’est pas le souvenir que je veux emporter.

On nous fit une courte visite guidée des lieux, passant par la cuisine, la salle à manger, nos appartements… Ce train au couloir sans fin était d’apparence extérieur médiocre et pouilleux, tandis que de l’intérieur, il était luxurieux, même un peu trop pour des gens qui vont mourir. On nous conduisit, James et moi, dans le salon. C’était une salle immensément grande. De couleur orange, on sentait la chaleur se répandre en chacun de nos membres. Sur le canapé en cuir aux cousins de velours, se trouvait Mark ainsi qu’une jeune femme que je ne connaissais pas. Elle était grande, d’une silhouette élancée, ses cheveux long et blond tombant sur sa poitrine largement découverte d’un décolleté en V à un tel point que ça en devenait vulgaire. Cependant, à côté de Mark, elle paraissait normale. Elle se leva, et écarta les bras, comme si elle attendait qu’on se jette dedans. Voyant notre perplexité, elle referma ses bras et nous offre un sourire de toutes ses dents blanches et parfaitement droites :
- Bien le bonjour mes jeunes amis ! s’exclama-t-elle, Oh.. que vous êtes a-do-ra-bles.
- Puis-je savoir qui vous êtes ? Demanda James
Elle s’avança vers lui, lui prit la joue droite de sa main manucurée d’un vernis vers pomme, et fit de petit mouvement, comme le faisait ma mère, quand je disais des choses absurdes.
- Je suis celle, qui va te mener à la gloire mon petit. Je suis votre tutrice, Alexandrina.
Je ne pus réprimé un rire léger à cette idée. Elle ne mènera aucun de nous à la gloire. Si l’un de nous l’emporte, ce ne sera certainement pas grâce à elle.
- Nous allons commencer par de simples explications quand au règlement. Déclara-t-elle, Je vous en prit, prenez place.
Nous nous exécutons et regardons plus autour de nous. Devant le canapé, se trouvait un écran gigantesque à la hauteur du salon. Puis Alexandrina entreprit de nous expliqué certains point de sa petite voix aigu. Une fois arrivé au Capitole, nous serons présenté par une interview en direct, puis les entraînements commenceront. Une fois une certains nombres d’entraînements, nous seront amené à passé devant des juges qui jugeront nos capacité d’une note sur 10. Nous ne pourrons voir la démonstration des autres adversaires, car sinon nous serions trop vite éliminé du jeu, et « ça enlèverai tout le plaisir du jeu ». Puis elle entreprit de nous éclaircir certains point quand à l’arène : Elle peut être n’importe où, nous ne sauront pas avant, il peut il avoir des « pièges » de la part des juges, comme des créatures modifiés, des plantes ou autres empoissonnés. Et évidemment nous nous nourrissons comme nous pouvons. Dès notre arrivé dans l’arène, après un décompte, il nous faudra nous accommodé d’armes qui seront déposé devant une corne d’abondance. Certains objets seront très utiles, d’autres beaucoup moins. On peut trouver des sacs remplis de nourriture comme un sac rempli de k way et de sac de couchage, mais sans nourriture, le sac de couchage ne servirait pas longtemps.
Une fois les règles difficilement intégrées en notre mémoire, Alexandrina se leva et se plaça devant l’écran :
- Maintenant, vous allez voir la rediffusion des Moissons dans les différents districts.
- Quoi ?! Nous allons voir nos adversaires avant la présentation à l’interview, m’exclame-je
-Evidemment, il faut vous faire une idée des adversaires que vous aller combattre, savoir leur forme physique et leur âge.
- Sachez, jeunes gens, déclara Mark, que vous ne devez pas tout jugé de leur apparence. Une jeune fille de 12 ans pourrait tout aussi bien être la gagnante des jeux.
Alexandrina alluma l’écran et nous laissa voir, s’installant juste à côté de James.
L’émission commença par une courte présentation accompagnée de notre hymne national. Puis vînt les sélections. On commença évidemment par le District 1. J’eus horreur de regarder les regards de chaque enfant craignant que la main dans la soucoupe pleine de bout de papier ne retire le leur, ainsi que le soulagement de chaque fille quand mon nom et tiré. Je me vois avancé vers l’estrade, sur de moi.
- Eh bien, les autres penseront que tu es une adversaire redoutable, quelle entrée ! Tu nous ferais presque peur, ria-t-elle.
Les Moissons continuèrent, les visages effrayés défilant en passant par les visages victorieux des tributs du District 2. Le tribut garçon s’était porté volontaire. Il y avait quelque chose en lui de peu rassurant. Ses cheveux bruns en bataille, ses yeux d’un vert explosant, et sa carrure d’athlète me firent frissonné. Je retins certains visages, dont celui du garçon de 12 ans originaire du District 5, les cheveux bouclé et à la posture droite. Quelque chose en lui m’intriguait. Car malgré son jeune âge, il faisait preuve d’une extrême assurance. Il eut aussi la fille du District 9 qui malgré la peur qui se lisait sur son visage paraissait sûr d’elle. Je l’imaginais déjà en train de me trancher la gorge. Puis vînt le District 10, où une fille de 1 an mon aîné, prénommé Caïna, paraissait dur. Son visage mat était couvert d’enflures et de bleus et possédait de monstrueux cernes sous ses beaux yeux bleus. A l’appel du garçon, un certain Charlie, un garçon d’un meilleur étant que la fille monta sur l’estrade sans aucune émotion. Ses cheveux blond et lisse, luisaient au soleil de printemps, faisant ressortir la beauté de ses yeux verts. Je ne retins que certains autre visage après ce district notamment celui de Lara, une jeune rousse au yeux fous, et Marco, un garçon grand et musclé du district 12.
Reste à savoir maintenant, lequel mettra fin à mes jours.





Chapitre III :


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Une fois arrivée à destination, nous fûmes accueillit en héros. Étant donné le peu de distance qu’il y avait entre le capitole et le District 1, le voyage fut tellement court que nous arrivions pour le déjeuné. Nous traversons la grande place, sous les cris d’hystéries du pays, et nous entrons dans un immense immeuble aux vitres teintées. Alexandrina nous pressa d’avantage car il était l’heure de mangé et que nous allions avoir beaucoup de travail en cette après midi avec l’interview en direct. James et moi-même montons dans l’ascenseur au multiple boutons.
- Vous êtes à l’étage 1, comme District 1, nous expliqua Alexandrina, nous allons d’abord à la cafétéria afin de dégusté le merveilleux plat qu’on nous à préparé : Une cochon de lait assaisonné à la moutarde de France.
Nous prenons donc place à la table, en compagnie de Mark, et Alexandrina, et a peine mon postérieur frôla la chaise, que les serveurs arrivèrent en toute hâte nous apporter notre plat.
- Merci, dis-je poliment avec un grand sourire.
Le serveur me fit un signe de tête puis, partit à nouveau vers les cuisines sans se pressé cette fois.
- Voyons, quelles sont ses manières ma p’tite ! S’énerva Alexandrina.
- De quoi ? De dire « merci » ? Répliquais-je
- Non, de leur parler, qui puis est ils peuvent pas te répondre.
- Quoi ? Ils n’ont pas le droit de parler ? M’étonnais-je
- Ce sont des Muets, des traîtres, leur langue a était coupée.
- Des traîtres ?
- Manges, avant que ça refroidisse, dit James.
Je n’ai pas l’habitude de recevoir un ordre d’un gamin, et encore moins que je ne connaissait pas. Alors que je m’apprêtais à répondre, Mark me fit taire d’un geste de la main, et m’indiqua mon assiette. Je rumina, mais mangea pour autant. Le plat était d’une douceur infinie, et d’un petit picotement dût à la moutarde. Malgré mes moyens financiers, je n’avais jamais mangé un plat aussi goûteux.
Puis le déjeuné prit fin, et Mark nous indiqua de nous reposer car la journée allait être encore longue. Il nous indiqua donc nos chambres, nous expliqua quelques notions quand à la technologie qu’elle disposait, puis nous laissa nous reposer


Je me trouvais là, dans ma chambre, couché sur le lit trop douiller de cette chambre trop décorée.
Je pensai à toute cette journée, en quelques heures, toute mon existence a changé. Je m’appelle Ashley Martin, j’ai dix-sept ans, et me voilà dans les premières victimes des fabuleux jeux de la faim.
Je ne pus me poser bien longtemps car, quelques minutes après que mes pensés aient traversés toutes les choses que je n’ai jamais fais avant de mourir, on frappa à ma porte.
- Ne peut-on pas rester seule après une journée où on apprend qu’on entre dans un jeu de mort ! Criai-je.
- Non, mais on peut être à deux, résonna la voix de James.
- Entre.
Il entra dans ma chambre, et je me redressa sur mon lit, tout en tapotant une partie devant moi, l’insistant à s’assoir. Il s’assit, eut un grand silence avant qu’il ne dise :
- Est-ce que tu as peur ?
- Je ne m’en rends pas compte pour le moment, mais je pense que lorsque je serais dans l’arène et que je serais coursé par le tribut du district deux, je pense que là, j’aurais peur.
Il eut un rire léger avant de se lever et de se retourner devant moins l’air grave. Il n’avait rien du garçon que j’ai vu un peu plus tôt, jouant de son statut. Il n’avait que 15 ans, il était si jeune, il a tant de choses à voir et à faire. Et moi aussi.
- J’ai peur, Ashley. Me dit-il d’une voix mélancolique.
- On a tous peur. James, je ne peux pas te dire que tu n’as rien à craindre, c’est une promesse que je ne peux pas te faire, mais si il y en a une que je peux te faire, c’est de tout faire pour que nous puissions survire, du moins, le plus longtemps possible..
- Tu n’as pas à me faire cette promesse ! S’énerva-t-il, La seule chose que je peux te promettre moi, c’est de ne pas te tuer !
- Je te demande pardon !
Je fus sous le choc, ce garçon si gentil, si effrayé, venait de me dire, qu’il n’aillait pas me tuer, mais me laisserais me faire assassinée. Une jeune fille de 17 ans tuer par un garçon de 15 ans. Je ne m’étais donc pas trompé, malgré sa peur, il est fier de sa célébrité.
- C’est le jeu après tout. Tu croyais quand même pas que j’allais te lancer des fleurs dans l’arène.
- Non. .J-Je, bien sur que non. Répondais-je prise par surprise, je ne tenais juste pas à…
Les mots se perdirent dans ma gorge. Je n’avais pas vu les choses comme ça. Je n’avais même pas pensé au fait que le garçon devant moi, pourrait être mon meurtrier.
Il se leva et se dirigea vers la porte et me gratifie d’un sourire narquois :
- J’ai certes 15 ans, mais je n’en demeure pas moi fort qu’une gamine de 17 ans. Je suis bien plus fort que toi. A ta place, je m’allierais avec ton meilleur espoir de survit, moi.
- Jusqu'à ce que tu me poignardes dans mon sommeil.
- Eh ! C’est le jeu, ne m’en veux pas de suivre les règles. Mais essaie de mourir rapidement, histoire de ne pas avoir à faire le sale boulot.
Puis il partit, en refermant violemment la porte, qui claqua et causa un courant d’air. Je me glissai dans mon lit aux draps de soie, espérant rater l’interview de ce soir, je laissai ma fatigue m’emporter dans un sommeil profond.

Je fus réveillé par un brouhaha de rire et de chant dans ma chambre. Il devait être 19h, et ma sieste ne fut pas assez longue. Je leva la tête et découvrit une multitude de personne dans ma chambre tandis que j’écarquillais les yeux sous la surprise.
- Mais, qui êtes-vous ? Criai-je afin de me faire entendre, Et que faites vous dans ma chambre ? Je vous signal en passant, que je dormais au cas où vous ne l’auriez pas remarquer.
- Oh, mon dieu ! Vous avez vu ses cheveux ? On ne t’a jamais dit que quand on a des boucles comme les tiennes, il faut dormir avec des bigoudis ! dit une fille à la chevelure rose.
- Euh, nan, on ne m’a jamais dit, qui puis est, je n’ai pas besoin des conseille d’une fille au cheveux rose. Puis-je savoir à qui j’ai affaire ?
- Nous sommes ton équipe de préparation pour l’interview, ricana une plus jeune femme aux cheveux verts émeraude aux mèches d’or, et non allons te rendre top ma chérie !
Je la regardai, interloqué et étonné de voir tellement de couleur dans une chambre aussi sombre. Ils étaient tous habillés de vêtements extravagants et flash. Rien qu’à les regarder, une terrible migraine me prit.
- Nous allons commencer, il faut que tu te lèves ma chérie, dit la même jeune femme verte, Hop, Hop, Hop, debout, debout ! Je suis Louïal, et je suis ta styliste personnelle.
- D’accord...Mais je refuse de me teindre les cheveux en bleu ! Je me présente, je suis...
- Nous savons qui tu es, chérie, voyons ! Tu es Ashley Martin.
Sa manie de m’appeler « chérie » me rendait déjà à moitié folle. Ils étaient cinq, quatre filles et un garçon. Le garçon était gris de la tête au pied, et me faisait étrangement pensé à un opossum. Les filles, elles, étaient hautes en couleur. Et en hauteur ! Elles avaient des talons vertigineux, et me dépassé toute d’une tête malgré mon 1m78.
- Nous allons te préparé à l’interview, tout ce que tu as à faire c’est de t’assoir et de me dire que tu es merveilleuse, et que je suis une styliste fantastique.
Je m’exécuta, et m’installa devant la coiffeuse de la chambre tandis qu’il S4agglutiné autour de moi, me brossant les cheveux délicatement, en prenant soins de chacune de mes boucles anglaises, me faisant les ongles avec un vernis or, tandis que les deux autres s’occupaient de mon visage. Après des heures de maquillage, je pus me regarder, quelle fut ma surprise en voyant le résultat. Je ne me reconnaissais pas. A quoi bon montré des adversaires sous leur meilleur jour, pour les voir après noyé dans le sang. Je suppose que ça fait partie du spectacle.
- Voilà la touche finale de ta présentation, enfile vite cette robe, et va te mettre dans les loges.
Elle présenta une robe en or, orné d’une ceinture d’un rouge éclatant au dessus de mes hanches, avec un jupon jusqu’aux genoux en coupole. Le décolleté en dentelle couleur ivoire était, selon moi, un peut trop vulgaire accompagné d’une paire d’escarpins rouge étincelant. Je l’enfilai et je découvris une autre personne dans le miroir qui me faisait face.
- Tu es merveilleuse, ma chérie, et moi je suis talentueuse, Soupira-t-elle.
- C’est une façon de voir les choses…Enfin je suppose.
- Maintenant nous allons te conduire dans les loges et coulisse de l’émission, au rez-de-chaussée.
L’ascenseur nous y conduisit en moins de deux, et nous nous dirigeons vers les coulisses en trottinant. Arrivés sur place, ils vérifièrent que ma coupe était encore en état et me fit la dernière retouche.
L’interview allait commencer.




Chapitre IV :


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La foule était en délire. Les cris et applaudissements retentissaient jusque à dans les loges. La pression montait, et la mienne en particulier. J’étais stressé car si je ratais cette présentation, et que je montrais mes points faibles, je serais très vite éliminée des jeux.
Je respirai calmement, et posément. Pourquoi cela se passerait-il mal ? Parce qu’un gamin de15 m’a plus ou moins menacé de mort ? Ou parce que je n’ai rien à dire aux journalistes ?
Je me posais de plus en plus de questions quand à mon futur proche, quand Mark apparu devant moi.
- Angoissée ? Me questionna-t-il
- Totalement. Je ne sais même pas quoi dire, dis-je prise de panique, et si on me demandais mon point fort, ou mes points faibles ou…
- Commence par te calmer. Ensuite, pour ses questions tu ne dois absolument pas donné ta réponse (voulant prendre la parole, il m’interrompit d’un geste de la main) mais ne mens pas non plus. Ne te donnes pas plus, ou moins de valeur que tu as. Répond ce dont tu penses qu’il n’est pas dangereux de répondre.
A peine eut-il finit sa phrase que l’hymne de Panem retentit à mes oreilles. Il était l’heure. Le présentateur, Julio Rinaldi nous attendait sur scène. Il nous appela les uns, après les autres. Mon nom fut le deuxième appelé, et dès qu’il résonna dans ma tête, je respira profondément, et me jeta sur la scène.
Les lumières m’éblouissaient, je ne pouvais voir au-delà d’un mètre devant moi. Je manquai de tomber sur l’estrade jaune à cause de ces maudits escarpins. Je me redressai tant bien que mal en observant l’attitude de James, devant moi. Il portait un magnifique costume noir et or et était lui aussi maquillé, car ses tâches de rousseur avait totalement disparus de son visage. Il souriait de pleines dents, saluant de la main chaque personne du publique, leur envoyant des baisers. Un- Zéro pour James. Mais je n’avais pas dit mon dernier mot. Je pris place sur le fauteuil qui me fut attitré, délicatement. Les autres invités...concurrents arrivèrent et prirent place à nos côté un sourire niais sur le visage.
Julio commença par une brève introduction concernant les jeux, leur règlement et entreprit de commencer l’interview :
- Le moment que nous attendons tous, impatiemment, la présentation des candidats. Nous allons faire dans l’ordre des District et donc commencé par le premier, il hésita un instant, les filles d’abord. Je vous présente Ashley Martin !
La foule applaudis et je me levais de mon siège pour me diriger vers Julio qui m’attendait déjà, son micro brandit.
- Eh bien, Ashley quelle robe. Vous êtes somptueuse. Un grand bravo à son équipe de préparation, dit-il en applaudissant
- Merci, bafouais-je
- Alors dis moi, Ashley, qu’est ce que ça te fais d’être là, d’être la première fille des premiers jeux sur cette scène.
J’hésita un moment puis je le gratifia de mon plus beau sourire :
- Vous savez, Julio, cette aventure ne fait que commencer. Je ne peux pas encore en dire grand-chose, à part que je suis ravi de me retrouver ici avec vous.
La foule hurla, m’acclama et me siffla. J’étais aux anges, c’était vraiment la meilleure partie de toutes pour l’instant.
- Tu es vraiment une très jolie jeune femme, y a-t-il un future M.Martin ?
- Je…euh, dis-je prise au dépourvu avant de me reprendre, non, il n’y en a pas.
- Eh bien que de surprise, s’étonna-t-il, quel serait ton point fort ?
- Eh bien, si je vous le disais, mon cher ami, il n’y aurait plus de surprise dans l’arène.
- Cette petite est pleine de ressources. Comment as-tu ressentie le tirage au sort ?
- J’étais effrayé au début, mais petit à petit j’ai commencé à mis faire, et même à me dire que je pourrais gagné.
Ce qui est totalement faux. Mais je ne peux pas dire que j’étais terrorisée à l’idée d’entrer dans une arène en compagnie d’un garçon de 15 ans qui voulait me faire la peau.
- Une jolie, et téméraire jeune femme. As-tu une phrase de conclusion à nous dire ?
- Profitez bien de cette image glamour de moi.
Le publique ria et applaudis, tandis que je retourna m’assoir à côté de James, pour qui il était temps de passé au devant de la scène. Il était peut-être doué pour me menacer, mais il ne disposait pas d’un décolleté plongeant, et ne fit pas un malheur dans son interview plate. Les joueurs suivis, les uns après les autres. Tous s’en sortaient très bien. Puis vînt le tour de Caïna, du district 10. Ses bleus et cernes avaient disparus sous le maquillage et était habillé d’une longue robe bleu marine jusqu’au cheville, à une bretelle, sa chevelure bouclé rassemblé en un chignon serré. Elle se dirigea vers Julio, déjà en quête de réponse.
- Tu as une robe magnifique. Encore une équipe de préparation qui a bien travaillé.
- Tout est relatif, en faîte, je la trouve beaucoup trop longue.
Et sous la surprise générale, elle agrippa une partie de sa robe au niveau des cuisses et tira dessus, puis la déchira, laissant découvrir des parties de sa lingerie. Elle pris le bout de tissu arraché et le lança sur le siège qu’elle occupait un instant auparavant, tout en retirant les élastiques de ses cheveux, libérant ainsi sa crinière brune.
- Ouah, s’écria Julio tout émoustillé, c’est ce que j’appelle du relatif.
- Je ne pouvais pas faire un mouvement dans cette stupide robe .Répondit-elle simplement.
Sa façon de dire les choses était très décontractée. Elle n’avait pas la langue dans sa poche, et n’avait pas peur de le montrer. J’admirais ce côté de sa personnalité. Elle me faisait penser à un scorpion, toujours à sortir son dard et à piquer. Même si ça piqûre dans ce cas précis était hilarante.
Elle continua à parler avec cette même hargne dans la voix que lorsqu’elle a déchiré sa merveilleuse robe en satin bleu.
Puis vînt le tour de Charlie, qui ne paraissait toujours pas se rendre compte de la chose. Il s’avança vers de pupitre d’une démarche nonchalante et hypnotisante. Son regard vert était telle un océan d’écume dans le quel on se noyait de leur beauté, mais malgré ça, ils restaient vides, et ternes, comme si plus jamais ils ne verraient de belles choses. Une fois devant le pupitre, le jeune homme regarda la foule et fit un sourire timide.
- Eh bien Charlie Collins, Comment te sens-tu ? Le questionna Julio
- Je suis terriblement fatigué. Soupira-t-il.
A bien regarder, il était vrai que l’on voyait sous ses (magnifiques) yeux des gros cernes violet et creusé que le maquillage n’a pas su camoufler.
- Je vois bien ça. Il paraît que tu t’attendais à être pioché dans cette boule ?
- En effet.
- Qu’est-ce qui t’as fait croire ça ?
- Oh c’est bien plus que des soupçons, j’étais préparé à devoir monter sur l’estrade à l’appel de mon nom.
- Et pourquoi donc ? S’impatienta le présentateur.
- Car mes parents étaient les chefs de la rébellion.




Chapitre V :


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Un lourd silence, pesant, suivit la révélation du garçon. La foule se tut, et Julio baissa son micro, la bouche ouverte de stupéfaction. Charlie, lui, resta la, devant les spectateurs à remettre sa chevelure blonde en place. Les autres concurrents étaient tous aussi silencieux, mais Caïna paraissait ravis de la stupeur des personnes l’entourant. Après tout, elle était du même district que Charlie, et elle a sûrement dut les connaître, peut-être même a-t-elle participé à cette révolte qui fait que nous en sommes là aujourd’hui. Je repense à tous mes amis qui ont périt sous les bombes, et au front, à mes grands parents mort dans de terribles circonstances, à nos semaines de vie dans les bois à manger des rats, à ces jeux inventés pour nous faire payer et nous contrôler. Tout ça ne serait jamais arrivé sans cette rébellion. Et cette rébellion a était causée par ses parents. Ils étaient responsables de tout. Tout mes malheurs ont étaient crées par les deux mêmes personnes. Et après gâché, et achevé des vies, par leur insouciance, leur fils, se trouvait être un pion du jeu.
Je sentais la colère, la peine, et la compassion dans mon esprit simultanément. Mais alors que j’essayer de me contrôler tant bien que mal, Julio refermait sa bouche, puis inspira avant de déclarer :
- Ce n’est qu’un jeu de hasard, jeune homme. Ils ne t’auraient pas rendus responsable de tous ces désastres à la place de tes parents.
- Peut-être bien, mais malgré tout, je sais que j’allais être pioché, tout comme Caïna. Je sais maintenant que nous sommes lancé là dedans ensemble.
Je risqua un regard vers la chaise de Caïna et pus voir que sous son air de dure à cuire, ses joues mates viraient au rouge. Je détournai le regard pour me concentrer à nouveau sur l’objet de tout mon intérêt. Julio fit des allés retours entre Charlie et Caïna, et indiqua au caméra de filmer la jeune fille.
- Eh bien, que de surprise ce soir. Et on dirait bien que ton côté de la famille rebelle plaît bien aux demoiselles, ria-t-il
Il montra l’écran qui fixait le visage de Caïna de son long doigt. Lorsque Caïna remarqua son visage rougeâtre sur l’écran central, elle changea de suite de réaction. Son visage se durcit et son regard brun, fut à moitié noir. Elle tenta de se lever mais deux Pacificateurs étaient déjà là, près à l’arrêté, la tenant à bout de bras tandis qu’elle grognait comme une lionne. Charlie lui, comme à son habitude ne changea pas d’émotion, comme si cette histoire de rébellion avait aspiré la joie de vivre dans ce jeune adulte. Il se détourna et retourna s’assoire, n’attendant pas l’ordre qu’il lui serait donné.
Le reste de l’interview paraissait bien plat à côté de la révélation de Charlie. On ne pouvait guère faire mieux, même moi, avec mon décolleté plongeant. Cependant, elle se finit rapidement, et lorsque l’hymne retentit une seconde fois de la soirée, nous nous levèrent, puis une fois finit, nous nous dirigeâmes vers nos appartements.
A mis chemin, au bout du couloir, j’entendit un murmure de discussion. Par réflexe, je me colla au mur et écouta la conversation.
- Je ne veux pas être conseillé avec elle !
Je reconnu tout de suite la voix de James, pleine de frustration et d’orgueil. Il devait certainement parler de moi dans son elle.
- Tu n’as pas à t’en faire mon petit gars, elle ne vaux pas un clou cette gamine, répondit Alexandrina, elle ferait partie des premiers tombés. Aurais-tu peur d’elle ?
- Quoi ?! Cette fille, me faire peur ? Elle a peut-être mis le publique dans sa poche, mais je ne suis pas dupe, je saurais l’abattre quand il le faudra, chose qu’elle ne pourra pas faire. Elle est bien trop immature, Ricana-t-il.
J’entendis chacun de ses mots dans mon oreille. Mon équipe complotait contre moi.
- Et si elle se faisait un allié ? Craignait-il, Regarde Caïna, elle pourrait la défendre, et je mourrais sans avoir le temps de dire OUF.
- Caïna ne fera pas alliance, elle n’en a pas besoin. Mais veille quand même à lui saboté son entraînement afin qu’elle apprenne le moins, et que les autres la rejette comme partenaire.
- Pourquoi faîte vous ça ? Moi, j’y gagne la célébrité et la gloire éternels, mais vous ?
- J’ai tout parié sur toi, elle est beaucoup trop frêle, alors que toi, tu es costaud. Je m’assurais que tu gagnes, dit-elle dans un souffle, Et qu’importent les conséquences que ça aura.





Chapitre VI :


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Je dormis très mal cette nuit là.
Mon cauchemar était plein de flèche de feu, de sang et de combat à l’épée. Je me trouvais dans une forêt, en plein hiver, couverte de neige et de givre, couteau en main, je courais après quelqu’un. Un garçon. Je le rattrapai en quelques secondes et le plaqua au sol. Lorsqu’il se retourna sur le dos, le visage que je vis était celui de James. Il me regarda puis ria d’un rire froid qui se diffusa en écho dans tous le bois. Il me regarda droit dans les yeux me mettant au défi :
- Achève-moi.
Cette simple phrase se répéta dans ma tête, je ne pouvais pas l’effacé de ma tête. Elle résonnait dans chaque partie de mon corps, mon couteau refusant de s’abaisser violemment sur sa poitrine. Il était à ma merci, mais j’étais faible, pathétique. Puis apparut Alexandrina, et son décolleté en V. Elle me regarda, me fixant, en s’avançant. Elle tendit la main à James, l’aidant à se relever, qu’il accueillit avec plaisir. Je me trouvais là, les genoux dans la neige glaciale, le couteau me tombant des mains. James le prit, puis, s’accroupie en face de moi le couteau sous ma gorge.
- Tsssss, une si jolie jeune fille, soupira Alexandrina, qu’elle dommage.
Puis le couteau changea de direction, se planta dans mon abdomen. Je vis mon sang chaud couler sur cette neige si blanche et si froide, tandis que je me tenais le bas ventre, tenta d’arrêté l’hémorragie. Ma vision fut flou, et je ne pus voir que les autres tributs, devant moi, tenant chacun du petit couteau en acier au manche de bois, s’abaissant les un après les autres, me tailladant les parties de mon cœur exposé, me retirant mes vêtements, puis je me réveilla.
Je poussa un cri d’horreur, suivit d’un long sanglot. Je ne voulais plus dormir. Chaque instant où je fermais les yeux me rappelait l’horreur de mon cauchemar.
Une fois le jour arrivé, j’étais déjà réveillé. Je me leva enfin, entra dans la salle de bains et prit une douche rudement chaude. Cette neige m’avait donné froid dans le dos. Je restai longtemps sous le jet d’eau brûlant. Je décidais alors de sortir, et je vis mon reflet dans le miroir. Ne m’étant pas démaquillé la veille, mon mascara avait coulé long de mon visage, me donnant une apparence de clown triste. J’entrepris de me laver le visage, effaçant toutes traces synthétiques de ma nuit, ne laissant que mes cernes impossibles à masquer. Je ouvris ma penderie, puis resta planté devant les vêtements chics. Aucun de ces vêtements n’étaient adapté. C’était une journée normal, pas un défilé de mode. Et comme si ont avait lu dans mes penser, mon équipe de préparation arriva, avec à sa tête Louïal, plus motivée que jamais.
- Oh ma chérie, mais qu’a tu donc fais cette nuit pour être dans un si piteux état ? dit-elle en pleurnichant, toute mon œuvre est réduite à néant.
- Ne faîte pas comme si ça ne vous faisait pas plaisir de vous occuper de moi, grommelais-je
- Evidemment que non, chérie, nous allons te rendre par-faite pour ton premier entraînement.
A ce mot, mon esprit reprenait. L’entraînement commençait aujourd’hui, et vu ma fatigue, je n’apprendrais pas grand-chose à cette intervention.
- Vous n’allez quand même pas me maquiller pour un entraînement quand même, craignais-je.
- Bien sur que si chérie, il faut que tu sois parfaire 24h/24h. Et voilà ta tenue d’entraînement.
Le garçon préparateur au badge indiquant : Connan, (je suppose que c’est son nom), apporta la tenue dans la seconde. Noire et dorée, elle représentait très bien mon district, où sous numéro se trouvait sur la poitrine, en blanc, encadré de doré. C’était un une pièce en cuir, ou des bandes dorées partait des épaules pour aller jusqu'à mes hanches. Le pantalon était serré, un peu trop pour une tenue sportive, et marquait bien la taille.
- Au moins, il n’y a pas de froufrou, me rassurais-je.
Je ‘installa devant la coiffeuse, regardant le visage d’une blonde à la fatigue marquante sous ses yeux bruns, qui était évidemment mon reflet. Je soupirai, puis il entreprit de me maquiller, me pomponner, et me coiffer. Une fois leur travaille achevé, je pus voir une natte sur mon épaule, imprégné de fil d’or et de petits joyaux de la même couleur. A peine eus-je ouvert la bouche pour une réclamation, qu’on me leva me pressa d’enfilait la combinaison. Elle était beaucoup plus confortable que ce qu’elle en avait l’air, et après un regard dans la glace, m’allait à merveille. Elle me permit un moment de penser à autre chose qu’à mon stupide cauchemar.
Je pris l’ascenseur, appuya sur le bouton 13, et l’engin entreprit sa monté. A l’étage 10, il se stoppa et s’ouvra.
Devant moi se trouva Charlie, tout aussi fatigué que moi, du moins en apparence. Il a dut refusé de se faire maquillé ou alors ses cernes sont tellement creusé que même le meilleur maquillage ne pouvait les masqués. Il portait la même tenue que moi, à l’exception des couleurs qui chez lui était noir et vert foncé, et son chiffre sur la poitrine qui était le numéro dix. Il me regarda de ses yeux ronds, comme si il pensait qu’il serait seul dans cet ascenseur.
- B-Bonjour, bafoua-t-il.
- Bonjour, dis-je timidement.
Il entra à l’intérieur de l’ascenseur, se mettant à ma droite. Il me regarda de haut en bas, puis me regarda dans les yeux et me dit très sincèrement :
- Sympas ta tenue !
- La tienne est pas mal non plus, répliquais-je.
- Trop de vert à mon goût…
Les quelques secondes qui restaient furent très longues, et silencieuses. C’était vraiment difficile de se retrouver dans 3m² en compagnie d’un adversaire. Qu’est-ce que je raconte, nous ne sommes pas encore dans l’arène ! Mais ça paraît tout comme. Une fois arrivé à notre étage commun, nous sortons et nous dirigeons vers la salle marqué d’un pancarte plus que explicite : « Salle d’entraînement ». Je voulus pousser la porte, mais celle-ci s’ouvra d’elle-même à un mètre devant moi. Nous étions les derniers arrivés, tout le monde nous regardait étrangement. Est-ce dût au fait que nous étions des retardataires ou parce que nous sommes en compagnie d’un autre district ? Qu’importe. Je m’avança dans le groupe, et dès que mon regard croisa le visage trop souriant de James, je ne pus réprimé un frisson. Je n’avais pas oublié la conversation qu’il avait eut la veille au soir, et encore moins mon affreux cauchemar. Je ne lui rendis donc pas son sourire terriblement forcé, et tourna la tête de l’autre côté. Tous étaient habillé de la même combinaison que moi, seulement, chaque district avait ses couleur : Un petit orange jaune pour le district des céréales, le neuf. Une combinaison noir et grise pour le district 10, et ainsi de suite. J’étais cependant la seule cruche avec des mèches d’or et des petits joyaux dans les cheveux. Très professionnel.
Un homme, grand et large d’épaule aux cheveux bruns entra dans la salle. Il portait une tenue identique à la notre mais dans les couleurs argent et noires et ne disposait pas d’un numéro mais d’une indication inscrite sur sa poitrine : « Chef Entraîneur ». On ne peut être plus clair. Après qu’il ait traversé la moitié de la salle, il fut suivit d’au moins quinze autres entraîneur, homme et femme mélangés, portant la simple indication « Entraîneur ». Il se plaça tous devant nous, nous examinant de leurs yeux curieux. Ils devaient sûrement se demander sur qui ils devaient parier. Puis, le chef entraîneur pris la parole :
- Bien le bonjour, Mesdemoiselles et Messieurs, dit-il d’une voix grave, je suis, comme ma blouse l’indique, le chef des entraîneurs. Je m’appelle Lek, et je vous suivrais dans les prochains jours.
Chaque tribut regarda Lek de différentes manières, il y avait de l’envie pour sa musculature, de la peur, toujours pour la même raison, de l’impatience et de la surprise. Il reprit alors la parole d’une voix forte :
- Voilà comment ça se passe ici, tout les matins, et je dis bien tout les matins, vous viendrez ici, à l’heure (il me regarda ainsi que Charlie. Il s’avait donc que nous étions arrivé plus tard que les autres). Aucun désertement ne sera envisageable, cet entraînement est obligatoire à tous. Quand à l’organisation, il y aura plusieurs stades d’apprentissage (il leva sa main et entreprit des les compté sur ces doigts: ( Tir à l’arc, escrime, corps à corps, survivre avec la nourriture, connaissance des poisons, maniement des haches, lancer de couteaux, fabrication de fléchette empoissonnées, pièges en tout genre et un tas d’autres.
L’énumération fut surprenante de tout ce qu’on pourrait apprendre. Des choses les plus importante, au beaucoup moins. Chacun doit mettre ses priorités dans ce qui lui semble plus que nécessaire.
- Vous devez réfléchir avant de faire votre choix. Vous pouvez aller où vous le souhaitez, autant de fois que vous voulez et même juste cinq minutes si cela vous suffit. Cependant, certains ateliers ne seront disponible qu’une seule journée, ou demi-journée. Donc réfléchissez (il nous regarda les uns après les autres). Que l’entraînement commence.
A peine eut-il finit sa phrase, que déjà, les tributs du district deux se ruaient vers l’atelier du maniement des haches. D’autres hésitèrent plus longtemps, comme ceux du district 4, qui finalement choisissent les fléchettes empoissonnées, tandis que James m’observait tout en allant au stand de tir à l’arc. Tous se hâtèrent vers les ateliers de combats, à un tel point, qu’il ne resta que moi, et Charlie, debout au milieu de la salle. Il fallait faire un choix. Je regardais autour de moi, voyant tout le monde s'agglutiné dans les stades visant les compétences physique, et trouva le stade de fléchette étrangement vide. Je fis donc le choix qui me paraissait le plus judicieux. Je m’avançai au stand, et je m’accroupis devant l’entraîneur aux traits trop parfaits. Il commença à se présenter et à m’expliquer les bases quand quelqu’un s’assit à côté de moi. Pensant que c’était James qui venait saboter mes chances, je me retournai violemment vers lui. Mais quelle fut ma surprise quand je vis le visage angélique de Charlie.
- Je ne savais pas vraiment où aller, chuchota-t-il gêné, désolé.
- Oh, euh… Pas de problème, en faite je t’ai pris pour quelqu’un d’autre.
L’entraîneur reprit son explication. Il parlait clairement sans aucune difficulté de compréhension. A l’écouter, fabriquer des fléchettes était d’une simplicité totale, mais je pus me faire ma propre opinion à l’exercice de pratique. Les fléchettes étaient faite à base de boue, et de baies toxique, avec un peu d’eau chaude. L’eau chaude est le conducteur du venin dans le corps, laissé l’eau refroidir n’aurait aucun effet sur la victime de la fléchette, il faut donc la tiré dans les quinze minutes après sa fabrication. La manipulation aussi était compliquée car elle demandait des mains sans plaies, car le venin pourrait nous contaminé durant la préparation. Il nous apprit d’abord à faire un poison de paralysie temporaire que nous testons sur des rats de laboratoire. Malaxer la boue n’était pas le pire, il nous donna une liste de poison typique dont certains étaient fait de cigales écrasées, ou même d’urine. Mon poison fut de moyenne qualité, tandis que Charlie avait géré ça comme un chef, son rat fut paralysé une heure entière. Nous passons en revus les poisons appris, puis nous passons aux antidotes, en cas où on aurait un allié sur qui compté. Les antidotes se résumé la plupart pour une plantes à manquer. D’autres étaient beaucoup plus écœurants, comme celui du poison acide où pour calmer la douleur, il faut se tartiner la langue de boue. Après cette charmante révélation, on nous indiqua d’aller à la cafétéria, à gauche de la salle d’entraînement. Je m’installai à une table, accompagné de Charlie. Tous les autres étaient en groupe de niveau, à l’exception de Caïna, qui s’installa à la table en face de la notre table, en parlant toute seule.
- Tu es vraiment doué pour les poisons, dis-je pour briser le silence, ton rat est tombé comme une pomme.
- La chance du débutant, répondit-il en prenant une grosse cuillère de purée. Où veux-tu aller ensuite ?
Sa question me fit percuté. La façon dont me disait ça me montra qu’il voulait savoir où nous irons. La situation me fit bizarre. Je me trouvait là à manger avec un adversaire qui m’observait de ses yeux globuleux, cherchant peut-être un défaut à ma personnalité pour mieux me briser. Cette pensée m’amena à regarder l’emplacement de mon sois disant coéquipier. James se trouvait à la table des district deux, qui mangeaient dans une ambiance de fête. Je n’avais même pas pensé à regarder ses résultats au stand, alors que c’est de cette manière qu’il pourrait assassiné. Je frémis à cette idée, les images de sang chaud sur la neige glaciale me revenaient, me donnant le tournis. Voyant mon malaise, le jeune blond me regarda interloqué :
- Ashley ? Tu vas bien ?
- Oui, oui, une petite migraine, rien de plus, mentis-je.
- Bon... D’accord. Que veux-tu faire en suite.
- Mmh, je ne sais pas (je prit une bouchée de dinde grillée) on verra déjà ce qu’il y a à notre retour.
J’avais visé juste. A notre retour les stades avaient changé, d’autres se sont envolés et il y eut certains nouveaux. Parmi les nouveaux, on put voir un stand de camouflage, un stand de chasse, et un stand de course. Le stand où nous étions plus tôt dans la journée faisait partis des stands qui ont été enlevés.
- Nous sommes donc les deux seules personnes sur les vingt-quatre à savoir comment empoisonner et comment guérir, Dit Charlie.
- Au moins si je suis paralysée, je saurais de qui ça vient, dis-je en plaisantant.
Il se tourna vers moi et me regarda de ses yeux verts, l’air grave, et sérieux. Son regard était intense et hypnotisant.
- Ashley, faisons équipe.






Chapitre VII :


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A Venir Smile
















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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 19:48

Moi je te soutiens, j'adore les fanfics cheers mais pour les écrire, c'est pas mon truc Embarassed

Après, si tu as déjà l'idée, que le tout est cohérent, lance-toi, qui ne tente rien n'a rien Wink
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 20:19

Je vais faire quelque essai sur word, on verra bien Smile
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 20:24

Tu nous fera lire, un avis extérieur pourra bien t'aider ( et moi je veut lire,je veux liiiiire Razz )
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 20:51

Vous serez les premiers prévenus ;P
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 22:21

Ouiiii Very Happy
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 22:36

sa serait cool une fanfic car y'en a pas beaucoup et j'adore les fanfic!!
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 22:49

J'ai déjà commencer un chapitre Smile
Cependant, aussi loin que je m'en souvienne, on ne donne pas le nom de " l'inventeur " des HG ? silent
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 23:02

non on c'est juste que ces le capitole qui institut les hunger game enfin je croit !
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 23:02

D'accord, il me semblait aussi.Smile
Merci boun:
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 23:17

mais de rien hate de lire ta fic Very Happy
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 23:28

Voilà ce que j'ai écris en cette triste soirée de pluie, je me suis sentie inspiré.
C'est plutôt une introduction qu'un chapitre, mais je vous met dans le bain Wink

Alors j'ai relut trèèèèèès vite fait, donc si il y a des fautes, signalez, et comme dit, c'est un projet. Soyez indulgents mais n'hésitez pas à me faire parvenir vos avis ici même ou en MP. Toute critique est constructive. boun:





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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyLun 19 Déc - 23:34

sa commence bien je trouve ! on comprend bien de quoi il s'agit ! oui sa fait intro tu peut enchainer par le 1er chapitre après sa ces nickel ! surtout prend ton temps pour écrire pour ne pas bâclé mais je te redit pour moi sa commence très bien !
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Catnip Mellark
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyMar 20 Déc - 10:39

Pourquoi ne pas écrit une fiction mais du Point de Vue de Peeta ? Smile
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Skaene
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyMar 20 Déc - 10:46

C'est bien comme intro Very Happy
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Tanou
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyMar 20 Déc - 13:55

ou es ce qu'on peut lire l'intro ?
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyMar 20 Déc - 16:56

Je l'ai mis un peu plus haut, sur la première page Smile
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyMar 20 Déc - 17:03

oui je viens de le voir je crois que mon pc ne voulez pas l'afficher tout a l'heure^^ bonne intro sinon j'attends de voir la suite mais prend ton temps Wink
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptySam 31 Déc - 12:34

Eyh Twist' ! Je n'ai pas l'introduction moi. J'ai regardé, mais rien ne s'affiche o_O
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptySam 31 Déc - 12:43

Arf, je suis désolé, je vais la remettre :

ATTENTION PAS DE BARRE SPOILER !



- La Révolte à cesser, annonça une voix grave et calme. Les douze Districts restants sont surveillés. Épiés dans le moindre de leur geste, si une nouvelle révolte serait amenée à ce produire, nous serons en mesure de la stopper avant qu'il advienne quoi que ce soit.

Sa posture droite, et ses jambes serrées ne laissaient en rien voir le désarroi de cet homme. En face de cette longue silhouette noir, dos à son bureau, il était dur de garder son sang-froid. Il ne laissa pourtant aucune marque d'une quelconque peur, et paraissait assuré.
Mais lorsque la silhouette pivota en sa direction, dérivant son regard de la ville en fête, il ne put s'empêcher de frissonné à la vu de son supérieur.
Malgré sa maigreur, il n'avait pas l'air d'un faible. Son physique trahissait qui conque pensait l'abattre de façon simple. Ce n'est qu'une facette. A cet instant, il y a encore des gens qui le redoutent plus que tout. Qui ne pourrait ne pas le redouter ? Ses yeux noirs, ses sourcils froncés accompagnés d'une bouche fine en un rictus effrayant, tout dans ce personnage nous indiquer sa froideur d'âme.
Voyant l'homme le regarder de la sorte, soutenant son regard,le soldat au garde à vous, parut encore plus tendu qu'auparavant.

- Président Teodd ? Dit-il d'une voix mal assurée.
Les espionner ne suffit pas, cria-t-il dans toute la pièce, cognant son point sur la table, il faut leur mettre dans leur petites cervelles que rien, n'y personne ne peut battre le capitole !

Le jeune soldat tressaillit au choc. Que voulait-il dire par là ?

- Nous devons instaurer une terreur sans pareille. Ce qui est arrivé au District treize ne doit en aucun cas se reproduire. Montrons à quel point nous sommes forts et eux faibles !
- Et que compter vous faire Mon Président, dit-il perplexe.
- J'ai plusieurs idées sur la question. Nous pourrions avoir chaque moi, un jour où une centaine de personnes seraient exécutés. Ça leur remettraient les idées en place.

Alors que le Président Teodd se lança dans une rire effroyable, glacial, le soldat ne put plus rester de marbre. Avait-il perdu la tête ? Sacrifier mensuellement des personnes qui n'ont rien à voir avec cette rébellion, c'est de la folie ! En avait-il conscience ?

- Si je peut me permettre,il se racla la gorge, Monsieur le Président, un tel acte ne peut avoir lieux, les populations sont déjà à moitié en famine, notre population chutera ainsi que ses productions. Est-ce là un investissement sûr ?

Le Président s'arrêta de rire. Il lança un regard plein de reproche à son interlocuteur qui frémit sur place. Chacun de ses pas le rapprochant de cet homme qui a eut l’idiotie de le contredire, produit un bruit sourd et résonnant. Une fois devant lui, le Président tourna autour de sa proie tel un félin affamé, faisant tressaillir l'objet de l'attaque.

- Général Yvan, cracha-t-il vulgairement, pensez vous, que moi, le Président, en ai a faire de votre avis. Aussi loin que je me souvienne, je suis le dirigeant de Panem. Instaurer une peur, faire frémir le moindre imbécile d'habitant de ce pays est mon devoir. A moi que vous souhaitiez, mon jeune ami, qu'il arrive à nouveau des catastrophes comme celle de cette révolte ?
- N...non, bien sur que non, mon Président, trembla-t-il.
- Je me douter bien de votre réponse. Cela dit, je n'ai pas l'intention de tué cent personne tout les mois, un humour de politicien je dirais. Ce serait choisir la facilité, Il eut un rire sournois, et je ne choisirait pas de m'abaisser à ce niveau. Nous avons longuement délibéré, avec les conseillers de Panem, la peur doit s'instaurer au plus jeune âge. Nous avons créer, un jeu, qui risque de rassasié les plus affamés. Nous avons créer les "Jeux de La Faim".
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptySam 31 Déc - 13:15

Oh yeah, il est méchant celui là! C'est une bonne intro, mais une question me tracasse;
Qui seront les héros de ta Fanfic? flower
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptySam 31 Déc - 15:13

Les héros seront les premiers lancé dans l'arène Wink
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyDim 1 Jan - 12:37

Je veux la suuuiiiiiite boun:
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyDim 1 Jan - 14:38

Je me suis mis en pause mais je continuerais dès que j'en aurais la patience.
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MessageSujet: Re: FanFiction d'Hunger Games.   FanFiction d'Hunger Games. EmptyDim 1 Jan - 21:04

Courage Very Happy
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