PeterSlash Participe à la Moisson
Messages : 105 Date d'inscription : 02/01/2013 Age : 25 Localisation : Danse sur la tombe de Snow
| Sujet: Hunger Games. Les Nouveaux Jeux. Tome 1. Mer 2 Jan - 19:38 | |
| Pour moi, les Hunger Games, c'est sacré. Et il était hors de question pour moi que les Jeux se terminent aux 75èmes Jeux de la Faim. Il devait y en avoir d'autre, plus, plus ! C'est pourquoi j'ai écrit cette assez longue Fic. Le Tome 2 est écrit, mais je vais le publier plus tard. Donc... Bonne lecture! PS: Il y a sûrement des fautes de maladresses, ou de conjugaison. Excusez-moi d'avance. Hunger Games. Tome 1 : New Games. Chapitre 1. - Spoiler:
Je rentrai dans le tube de verre, lança un dernier regard à mon styliste et fis les lacets de mes vielles baskets. La plateforme m’éleva jusqu’à l’air libre où il faisait plutôt bon et où l’odeur y était agréable. Je découvris l’arène des 83è Hunger Games. La Corne d’abondance trônait au milieu d’une plaine assez vaste, ensuite, la majeure partie de l’arène était recouverte d’hautes herbes, puis, il y avait une forêt, basique. Mais j’avais l’impression que derrière la forêt se trouvait quelque chose. Ce serait la direction première que je prendrais car les hautes herbes devraient promettre de très beaux combats pleins de surprise. La voix entama les 60 secondes. J’observai les autres tributs. Une dizaine était morte de trouille, une petite dizaine. Les autres étaient sûrs d’eux, impatients d’en découdre et d’avoir les mains pleines de sang. Corne ou forêt ? C’était la question que je me posais quand la 10è seconde fût annoncée. Ca y est, le gong retentit. Je couru le plus vite possible vers la Corne. Je réussi à ramasser trois couteaux et une sorte d’épée crochue. Je voulu attraper le sac à dos à ma gauche mais un garçon, du district 13, je crois, le tira en même temps que moi. Je pris la première chose qui me vint au sol et lui planta dans le ventre sans vraiment regarder ce que c’était. Il cracha du sang. C’était une lançe. Je pris le sac et partit en courant vers la forêt sans vraiment réaliser que je venais de tuer quelqu’un. Je tournai rapidement la tête. Une quinzaine de tributs combattaient encore. Des corps gisaient déjà sur le sol. Je crois que je n’avais jamais autant couru de ma vie, 20 voire 30 minutes sans m’arrêter. Je fini par parcourir toute la forêt et déboula sur la haut d’une colline. J’en étais sûr. L’endroit où je me trouvais formait une sorte de creux où en son milieu se trouvait un « butin ». Depuis que les Jeux avaient recommencés, dans l’arène se trouvait 2 butins, bien cachés ou non, histoire de faire durer les combats. Ce sont des petits paquets pouvant contenir n’importe quoi d’utile ou non à notre survie dans l’arène. Je m’approchai de celui-ci, tout doucement. Car il y a 3 ans, le butin contenait en fait une bombe qui avait explosé au visage du tribut. Je lançai une pierre dessus. Rien. J’ouvris donc le paquet et découvris une miche de pain, des fruits, de la viande séchée et un arc avec douze flèches. Néanmoins, les fruits ne m’inspiraient pas confiance. Du poison ? Mieux vaut ne pas prendre de risque, je les jetais. Une paire de boots se trouvait également dans le butin. Je les enfilais. Elles étaient beaucoup plus résistantes et beaucoup plus confortables que mes vieilles baskets. J’emballai tout dans le sac à dos dans lequel se trouvaient une gourde vide et des allumettes. Maigre trouvaille de ce côté-là. Le soleil allait bientôt se coucher pour laisser place à la nuit. La Traque. Des frissons commençaient à me parcourir le corps. Il fallait que je trouve l’endroit idéal pour dormir. Non loin de là, j’aperçu des arbres à creux. Assez larges pour que je puisse y rentrer. Ce serait donc ici. Soudain, les coups de canons retentirent. J’en comptais sept. Ce n’est pas beaucoup par rapport au nombre de tributs de cette année. Effectivement, depuis la rébellion du Capitole, et des districts 1, 2, 5, 8,9 et 11, le nombre de participants varient car environ tous les deux ou trois ans, afin de calmer les autres districts, ils envoient eux aussi leurs tributs. Cette année, tout le monde participe, nous sommes donc 28 avec le district 13. L’hymne retentit et les visages s’affichèrent. Le garçon du 1, Tina, ma partenaire, du district 3 (j’essayais de me retenir de pleurer devant les caméras), la fille du 6, celle du 7, les deux du 8 et le garçon du 13. Les Jeux cette année risquent d’être longs. Récapitulatif : Tributs restants : 21.
Chapitre 2. - Spoiler:
Alors que je commençai à m’endormir, des bruits de pas qui courent me réveillèrent. Un garçon et une fille coururent et se cachèrent des deux arbres semblables au mien. Je compris vite que ce n’était pas le moment de s’entretuer car 3 ou 4 tributs, costauds, les armes pleins les mains, les poursuivaient. Surement des carrières. Ils finirent par repartir et quelques instants plus tard, on entendit un cri, puis un coup de canon. Des frissons me parcoururent le corps. A travers nos regards, nous décidâmes, nous trois, de rester tranquilles pour la nuit.
Le lendemain, lorsque je me réveillai, je vis le garçon et la fille, assis autour du feu, je pensais qu’ils étaient déjà alliés avant l’attaque d’hier soir. Je leur demandai : « Quecequ’ils voulaient ? -On étés alliés tous ensemble, me répondit la jeune fille mais nous avons découvert un butin et ils n’ont pas voulus partager ce qui a dégénérer. Mais… Ils n’ont pas voulus nous laissez partir comme ça… -Ah… -Tu es du district 3 c’est ça ? Me demanda le garçon. -Oui. -Je suis désolé, dit-t-il. -Moi aussi. Moi, c’est Peter. Alliés ? -Si il n’y a pas d’autres butins, je suis d’accord me répondit la fille avec un sourire malicieux. Moi c’est Rose. -Déjà trouvé ! Je m’exclamai en montrant le sac. -Très bien, acquiesça le garçon (il me tendit la main). Moi c’est Tomas. » Tout le reste de la matinée, nous avons discuté de nos districts, Tomas est du 7 et Rose du 4, de nos compagnons décédés et d’autres choses. Quand soudain, un bruit de course nous coupa la parole. C’était les carrières. Mais bizarrement, ils ne couraient après personne, quelque chose leur courait après mais… On ne voyait plus rien à cause d’une épaisse fumée. On crut à un incendie mais il n’y avait pas de flammes. Soudain, une des carrières s’écroula. Les autres se cachèrent le visage avec leurs vêtements. On comprit tout de suite. De la fumée toxique. Il ne fallait pas qu’on respire ça. « Ne respirez-plus ! Criai-je. » Erreur. Les carrières m’ayant entendu se sont rapprochés de nous. Ils commencèrent l’assaut mais au bout de 5 minutes. Nous laissâmes tomber. Nous partîmes en courant. Au bout de 10 minutes de course, nous aboutirent à de l’oxygène respirable. Soudain, la voix de l’animateur des jeux résonna : « Bonjour chers tributs ! Tout d’abord, félicitation pour votre parcours ! Mais… Comme vous avez pu le constater, de la fumée irrespirable a envahi la moitié de l’arène ! (le coup de canon retentit, pour la fille de la meute des carrières). Nous vous proposons donc une petite aide, a la Corne d’abondance, demain au lever du soleil, des masques à gaz seront disposés dans la Corne, vous devriez en profiter ! Mais attention ! Il n’y en aura pas pour tout le monde (on l’entendit rire).Cependant, seulement la moitié de l’arène restera impénétrable, mais n’oubliez-pas, c’est dans cette moitié où l’air y est toxique que ce trouve le lac ! (il rit de nouveau) Bonne chance ! Et… Puisse le sort vous être favorable ! » On se regarda. Le désespoir nous envahit. Que faire ? « Alors, demanda Rose, quecequ’on fait ? - Je ne sais pas… -Je pense qu’on devrait y aller, dit Tomas. Les Sponsors ne sauront pas toujours derrière nous… Et l’eau est vitale. En tout cas, moi j’irai. -Très bien dis-je. -Alors préparons-nous, il y aura sûrement du monde proposa Rose. » Toute la soirée, nous nous sommes équipés de façon à pouvoir résister aux attaques des autres tributs. Puis, les visages des tributs arrivèrent : La fille du district 10, bizarre, du district 10 chez les carrières, c’est peu courant. Puis, c’est le visage du garçon du 5, nous n’avions pas dut l’entendre. Voilà, nous n’avions plus qu’à attendre la fin de la nuit. Récapitulatif : Tributs restants : 19.
Chapitre 3 : - Spoiler:
La lumière du jour vint me frapper les yeux. Le tant que ce n’était pas le poing des autres tributs. Ça m’allait. Il allait bientôt falloir aller à la Corne. Hier soir, nous nous étions positionnés pas très loin pour ne pas manquer de masque en faisant la route. Je réveillai Rose et Tomas, qui étaient eux, très décontractés. Ils m’expliquèrent qu’ils n’avaient jamais eu autant hâte de tuer quelqu’un. De la rancœur par rapport aux autres carrières. Nous nous rapprochâmes de la Corne, tout doucement car certains tributs devaient sûrement avoir des jumelles ou autre chose. Ils devaient aussi être bien équipés contrairement à nous. 19 tributs… Vont-ils tous aller là ? En tout cas, si ça arrive, il y aura de nombreux morts. Ca y est, les masques apparurent. 2 ou 3 a l’extérieur de la Corne, les autres sont tous à l’intérieur. Le stress commençait à se lire sur nos visages. Nous le savions tous. Nous sommes tous positionnées autour de la Corne en formant un cercle. Le risque d’y aller c’est le risque de partir en même temps que quelqu’un et qu’on soit obligés de luter. C’est une partie de bluff. 2, non, 3 tributs s’élancèrent sur les masques, je pensais tout de suite aux carrières mais un garçon et deux filles surgirent sur eux. 1 seule carrière repartit. Les tributs s’élancèrent les uns après les autres, ont voyais les corps tomber et les masques s’en aller. Il fallait réagir. Je regardai Rose et Tomas. On s’escquiça un sourire. Rose partit la première. Une flèche lui planta le bras. Elle hurla mais continua. Je partis en second suivi de Tomas. Nous arrivâmes tous les trois à la Corne. Il ne restait que 2 masques. Soudain, une des filles qui ont tués les carrières surgit. Elle lança son couteau sur Rose mais Tomas sauta. Il se prit le couteau. Mon réflexe ? Je couru avec mes 3 couteaux dans les mains et la taillada jusqu’à quelle n’en puisse plus. Elle s’écroula. J’étais abasourdi parce que je venais de voir. Elle portait un sac frappé du numéro 12. Ce n’est pas le district le plus puissant. C’est même le moins. Je repensai à la cruauté de la guerre qui donna ces Jeux. Mes émotions me rattrapèrent et je couru vers Tomas. Le pauvre s’était sacrifié et il le savait, nous le savions tous les 3 qu’il n’allait pas survivre. Rose était en pleur. Moi, je ramassai 2 masques, lui adressa un dernier regard. Il nous dit, dans son dernier souffle : « Gagnez, n’allez plus à ce genre de festins. Allez-vous cacher et attendez la fin. Attendez la fin de ces Jeux. Je sais qu’il n’y aura qu’un seul vainqueur mais… Je crois en vous. Allez-y ? Ne restez pas là. » Rose et moi coururent le plus vite possible en laissant Tomas là. Seul. Mais on n’avait plus le choix. Les autres tributs allaient arriver d’un moment à l’autre pour récupérer les masques sur les corps des morts. La nuit tombée, Rose et moi, nous nous sommes posés dans une petite grotte. Aucun candidat ne pourrait soupçonner son existence. Le seul danger c’est que nous étions dans la zone respirable. Il y aurait donc 2 fois plus de tributs. Rose s’endormi. Moi, je regardai les visages des morts. 9 en tout. C’est beaucoup. Juste pour des masques à gaz. Voici les morts : Les 2 du Capitol. La Fille du 1, le garçon du 2. Le garçon du 4. Tomas…La fille du 9. Le garçon du 11. Et la fille du 12. Les 3 jours qui suivirent la mort de Tomas, il n’y eu aucun mort, cependant Rose et moi nous nous sommes doutés que les dirigeants de ces Hunger Games ont forcément diffusé notre conversation avec Tomas avant sa mort car depuis, les bêtes sauvages, les incendies ou encore les inondations n’ont pas arrêtés. Ils voulaient nous rapprocher des autres tributs. Et nous savions tous les 2 que nous n’aurions pas le choix. Il fallait que nous aussi, nous fassions notre traque car cela fait maintenant 5 ou 6 jours que nous sommes dans l’arène. Le public s’ennuie. Ils veulent du spectacle. Je me demandai donc ce qu’il allait nous arriver quand soudain, nous entendîmes des bruits de pas. Je sortis mon couteau. Rose, elle son arc. Elle avait été blessé par une flèche dans le bras. Du coup, elle avait du mal à manier l’épée ou le couteau car elle était gauchère. L’arc lui faisait bien moins mal. J’entendis un sifflement dans le vent. Mais ce n’était pas un sifflement ordinaire. C’était celui d’une arme. Une flèche. Je tournais la tête. Un carreau d’arbalète venait de transpercer Rose. Je voulu m’approcher d’elle mais je vu le piège. Si ce tribut avait tiré sur Rose au lieu de moi, alors que je suis plus fort qu’elle, c’est que ne suis pas dans son axe de tir, et donc en sécurité mais plus pour longtemps. Soudain, un couteau se planta dans ma jambe. Mauvaise déduction. Il a dut la toucher en première car elle possédait un arc. Réflexe oblige, je lançais plusieurs couteaux dans tous les sens sans vraiment viser car je n’avais aucune idée de l’endroit où il se trouvait. Puis, au cinquième couteau, j’entendis un hurlement. Ca y est, touché. Il sortit du buisson. Il n’était pas très imposant mais il était très rapide. A manque de couteaux, nous entamons une lutte au corps. Il était assez rusé. Je finis par le repousser. Il attrapa un couteau, me le lança, j’esquivai à temps. Mais d’un coup il s’arrêta. Et s’écroula. Une fille avec une sarbacane se tenait derrière lui. Si je ne réagissais pas, je serais le prochain. J’attrapai l’arc de Rose et transperça la fille d’une flèche dans le ventre. Les 3 coups de canons retentirent. Soudain, une explosion surgit de nulle part, je fus propulsé très loin. Puis, un coup de canon retentit. Un sac piégé ? Je ne sais pas. En tout cas, mes blessures se sont clairement affectées. Je n’avais pas eu le temps d’y penser mais j’eu beaucoup de peine pour Rose… Je préférais ne plus y penser. Il fallait que je me concentre sur mon objectif. Gagner.
Chapitre 4. - Spoiler:
Il n’y avait plus que 9 districts encore en liste. Je regardais les visages dans le ciel. Il y avait Rose, le garçon du 10 et la fille du 13. Je savais donc maintenant de quels districts venait mes agresseurs. Il fallait se remettre en route. Mais il y avait un problème : Je n’avais ni arme, ni nourriture, ni eau. Tout avait disparu dans l’explosion. Je décidai donc de grimper dans un arbre et de rester les yeux ouverts en attendant de repartir demain. Encore heureux, j’avais encore mon masque. Pendant la nuit, j’entendis un bruit, bizarre, très bizarre. J’avais l’impression d’avoir déjà entendu ce bruit quelque part. Mais oui ! C’était le bruit des parachutes ! Je le vis, à ma gauche, accroché à une branche. Je le pris et l’ouvrit. Il contenait 3 couteaux, du bœuf séché et de la pommade pour mes blessures. C’était le bonheur. La pommade a vite cicatrisé mes plaies et blessures. Avec un bout de mon pantalon et un bâton, j’avais fait un garrot pour ma jambe. J’étais en pleine forme. Je décidais de manger la moitié de mon bœuf histoire de bien reprendre. Je mis mon masque. Pendant toute la matinée, j’avais parcouru l’arène pour arriver là. A la lisière de cette forêt pleine de fumée toxique. Je pénétrai à l’intérieur. Je couru vite prendre mon eau. Sur le chemin du retour, je croisai un tribut. Je reconnu tout de suite la fille du district 5, elle était extrêmement musclé et possédait énormément d’armes. Elle faisait partie du trio ayant attaqué les carrières pour les masques. Elle le portait d’ailleurs. Il fallait trouver le moyen le plus sûr de la tuer le plus rapidement possible. J’ai trouvé. Je m’approchai d’elle sans bruit. Et avec mon couteau, coupa la lanière de son masque, celui-ci tomba. Il fallut 2 secondes pour qu’elle s’écroule part terre et qu’on entende le coup de canon. Je ramassai une épée au passage et repartit. Il ne fallait pas tarder. Je sortit de la forêt de fumée. Mais une odeur de brûlé m’envahissait les narines. Je tournais la tête à gauche. Un incendie. Pas un petit incendie comme celui d’il y a 4 jours avec Rose. Non, celui la venait de raser un quart de l’arène. Il ne restait plus qu’une seule direction, enfin 2 : La Corne d’abondance, où tous les autres tributs pourraient me voir. Ou alors les hautes herbes. Je ne voulais vraiment pas en arriver là mais il le fallait. Je couru vers les hautes herbes. Le soir, je vis le visage de la fille du 5. C’est tout. La journée suivante, il y eu plusieurs combats mais seulement un morts. Tous les tributs restants se trouvaient de ces hautes herbes et ils passaient en vous donnant un coup de couteau dans le bras ou autre part. Les combats ne duraient pas car rester trop longtemps équivaudrait à la mort. On avait beaucoup plus de chance de se prendre des coups. Le seul mort était le garçon du 9. Mort juste sous mes yeux face à la fille du 2 qui a eu le temps de ne couper la joue. Rien de très grave. Je mangeais du blé que j’avais trouvé au milieu des herbes quand soudain. Je sentis un coup de lame me lacérer le dos. Cela me procurait une douleur inimaginable. Mais mon agresseur était partit. Quelques instants plus tard, quelque chose me piqua le pied, j’entendis un cri puis un coup de canon. Des serpents. Plus personne n’avait le choix. Les serpents avaient envahis la zone d’herbes. Tout le monde allait aller à la Corne. Le grand final allait commencer. Cela ne m’étonnait même pas car après plus d’une semaine, ça devait se terminer. Je me dirigeais donc vers la Corne d’abondance. Le serpent ne m’avait en fait pas piqué. Un soulagement. Soudain, la voix de l’animateur résonna : « Bonjour chers tributs ! Sachez que je suis très fiers de vous mais vous êtes encore 8 ! Félicitations ! Mais comme vous avez pu le remarquer, vous n’avez plus le choix ! Vous allez devoir vous rendre à la Corne d’abondance pour vous affronter ! Bonne chance et puisse le sort vous être favorable !» Quand j’arrivais à la Corne, déjà 6 tributs étaient présents. Mais pour une raison inconnue, ils étaient tous sur leur plaque. Mais je compris très vite pourquoi. Le corps d’un tribut été étendu sur le sol. Des mines. Si nous n’étions pas sur nos plaques, les mines s’enclencheront. Je montais donc sur celle où j’ai commencé mes Hunger Games. Nous étions 7. Ce soir, seulement 1 sera en vie. Nous nous regardions tous. Je reconnu la fille du 2, qui m’avait taillé la joue. Ils étaient tous prêts, armes à la main. Soudain j’entendis la voix : « Bonne Chance ! ». Les mines qui se trouvaient devant la Corne explosèrent toutes en même temps. Les tributs coururent vers celle-ci, prêts à tuer. Je m’élançai moi aussi et tua un garçon au passage. Les coups de canons retentissaient. Je les comptais. Nous étions 4. Du ménage de fait. C’est maintenant que le final allait vraiment commencer.
Chapitre 5 : Le grand Final. - Spoiler:
La tension commençait vraiment à monter. Le jour commençait à se coucher, et tout le monde se le disait : Il fallait en finir, et vite. Nous étions tous très fatigué et nos pas étaient plus lents. Les coups seraient moins forts et nous serions donc en vie plus longtemps. Je commençai à me dire qu’il faudrait peut-être attendre demain. Il restait moi, le garçon du 4, la fille du 11 et la fille du 2. 2 garçons et 2 filles. La fille du 2 et le garçon du 4 m’adressèrent un regard, puis un sourire. J’avais compris. Mais la fille du 11 aussi. Elle commença à hurler et à courir dans tous les sens. Je trouvais ça horrible mais nous nous jetâmes tous les 3 sur elle. Il nous fallut peu de temps avant que le canon retentisse. Nous nous écartâmes tous les 3. Soudain, le garçon du 4, qui portait encore son masque, (il devait avoir passé les derniers jours dans la forêt). Son masque lui explosa au visage. C’était horrible à voir. Nous n’étions plus que 2. Je m’élançai vers elle. Pointant mon épée en avant. Elle esquiva mes coups. Il fallait dire qu’elle était très habile et rapide. Une nuée de coups s’abattit sur moi mais je répondis. Cela dura toute la soirée jusqu’au moment où elle me planta un de ses couteaux dans le ventre. La douleur était terrible. Il me restait moins de 2 minutes pour la tuer. Elle boitait, elle avait également un bras entaillé, prêt à tomber, pas joli à regarder non plus. Je la vis, ma dernière chance de gagner. Elle s’avança vers moi, le couteau à la main. J’étais tordu en deux, il lui suffira de planter ce couteau dans ma colonne vertébrale pour m’achever. J’attrapai, avec le peu de force qu’il me restait, la hache à ma droit et au moment où elle se grandit pour planter le couteau, je lui plantai dans le ventre. Elle tomba, sans me toucher. Mais elle n’était pas morte non plus. Nous étions tous les 2 gravement blessés. Ce serait une question de temps. Soudain, elle me souffla : « Silteplaît, achève-moi, je ne peux plus, la douleur est trop forte. -Je…Je… » La douleur était trop forte pour moi aussi, je n’avais plus de force. Je faiblissais, mes yeux commençaient à se fermer. La seule chose que je puis faire est de la regarder dans les yeux et de lui dire : « J’ai été content d’être ton adversaire. Bravo. -Non ! cria-t-elle. » Je m’écroulai. Je ne pouvais plus, de toute façon. Je la vis, cette lumière. Cette lumière dont m’avaient parlé mes parents lorsque j’étais petit. C’est celle qui mène au paradis. Ils m’ont toujours dit qu’il ne fallait pas avoir peur d’affronter cette lumière, elle ne me ferait pas de mal. Je décidai de les croire. Je me laissais aller. Je fermai les yeux. J’étais là, au milieu des fleurs, le soleil venait de se lever, j’entendais les oiseaux chanter. C’était l’heure.
Voilà, c'est la fin. Je publierai le Tome 2 dans quelques jours, si cette fic à plus. | |
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