Je suis un diamant tueur ...

Je m’appelle Rubis, Rubis Luxus. J’ai 13 ans, et aujourd’hui c’est la moisson, une moisson normale, la 73ème moisson. Je vie dans le district 1 et la moisson est presque inexistante, la plupart du temps les gens se propose eux-mêmes, mais je n’ai pas l’impression d’avoir ma place au district 1, je m’entraine si je devais à être choisie je serais prête, et aussi parce que je suis une carrière, mais je ne veux pas, je m’entraine à contre cœur. J’utilise des massues, c’est lourd mais on arrive à les manier facilement après, et puis c’est une arme redoutable. La plupart de mes entrainement ont été fait avec Cashmere, une vainqueur. On est presque devenue amie. Son frère me taquine beaucoup à mon goût, mais elle prend souvent ma défense. Bref, revenons-en à aujourd’hui. Après un entrainement de deux heures je suis rentré chez moi me préparer, ma mère m’a préparer une tunique en un tissus très léger rouge, et un pantalon noir. Mes chaussures furent rouge, des souliers. Vient l’heure fatale de la moisson. Aucune personne ne se précipite pour participer cette année la, une moisson normale aura lieu. Le maire nous fait son discours ennuyant et la femme qui fait la moisson, une certaine Victoria, dit que tous les moissonneurs « Les dames d’abord ! », avec tellement d’entrain que ça me donne envie de vomir. Dans la grande sphère de verres elle pioche un pays enfouie au milieu des autres, elle le lit à voie hautes : « Rubis Luxus ! ». Mon nom. Je m’avance vers l’estrade elle me tend la main et m’aide à monter. Le foule m’acclame et je suis dépiter. Je me tourne et voie Cashmere, elle me fait d’un hochement de tête qu’il faut que je sois forte. Je me tourne vers la foule, lève les bras et en souriant fait comme si j’étais heureuse. J’aperçois ma mère, elle pleure, j’ai envie de pleurer aussi, mais je n’ai pas le droit. Viens ensuite le garçon, Mickael, banale comme nom, il s’avance vers l’estrade avec joie, on se serre la main et je me rends compte que ce garçon, est sur ma liste de victime.

Nous sommes conduits dans des salles individuels où les personnes qu’on aime nous rendent visitent, enfin qu’on aime ou pas. Ma mère fut la première à me rendre visite elle ne fut que pleurer et moi aussi, c’est le dernier moment que je partage avec ma mère alors autant m’exprimer comme je le veux, on à que deux minutes à nous. Ensuite plus personne ne vint. Personnes. Même pas ma meilleure amie. Une fois les visites terminer on nous emmène à la gare où on va embraqués dans un somptueux train pour nous emmener jusqu’au Capitol, avant d’embarquer j’aperçois ma mère elle ne pleure plus mais à les yeux gonflés et rouges. Elle me dit au revoir pour la dernière fois. Il est vrai qu’elle devrait être fière de me voir aller dans l’arène, mais notre famille n’est pas comme tous les autres du dictrict 1. On embraque. A l’intérieur je découvre nos mentors, Cashmere et Gloss. Cashmere me sera consacré et Gloss pour Mickael. Et ça me vas. Mon reflex fut de lui courir dans les bras ou elle m’accueille, on n’est pas vraiment amie, mais on a passé beaucoup de temps ensemble et c’est le seule personne que j’aime vraiment dans ce train. Dès notre arriver dans le train nos mentors commence déjà à nous expliquer le fonctionnement des arènes. Cashmere est très patiente et m’explique gentiment tout ce que j’ai à savoir sur l’arène, mais comme je suis une carrière je dois avoir des alliés et rester près de la corne d’abondance, mais je veux me camoufler, créer un abri et manger en chassant ! Je veux juste faire comme tous les districts ! Pas comme le 1 ni le 2 ! Dépendre de la nature ! Mais ça Cashmere ne veux pas le comprendre. Je vais devoir apprendre à l’entrainement tout ce que je ne sais pas sur la nature. Mais écouté Cashmere pour les armes.  On va bientôt arriver au capitole, d’ici 1 heure ou 2. Je m’assois sur une chaise à côté de la vitre et Mickael vint s’assoir sur la chaise en face de moi. Je peux enfin vous le décrire correctement : il est blond (comme 99% des personnes du district 1), et à les yeux brun, pas bleus. Il est beaucoup plus grand que moi autant en âge qu’en taille. Il doit en avoir 17. Je pense, je ne veux pas lui demander. Il est maigre et pas très musclé.
Rubis : Quelle est ton arme préférée ?
Mickael : Pardon ?
Rubis : Ton arme préférée.
Mickael : Je ne sais pas, je ne sais pas vraiment manier d’arme à part un couteau.
Rubis : Tu à donc 2% de chance de survie. Tu sais lancer tes couteaux ?
Mickael : Non.
Rubis : Je te souhaite une bonne et chaleureuse mort au sein de l’arène.
C’est à ces mots qu’il partit. Je dois l’avoir vexé. Mais si je dois le tuer autant mettre les choses au clair maintenant. On est arrivé au Capitol. On est acclamé par tout le Capitol. C’est la folie dehors. Mickael salut et moi aussi, je m’en rends compte après. Je sourie à la foule même. On descend du train et on est directement emmener pour ce faire préparer, mon équipe de préparation m’épile, me fait les ongles, me poli et tout ça pendant presque toute la journée. Vers la fin d’après-midi on me met dans une salle ou je reste couché sur une table jusqu'à ce que mon styliste arrive.
Styliste : Enchanté, je suis Logus.
Rubis : Rubis.
Logus : Donc tu es du district 1, je veux te rendre vraiment inoubliable, et comme tu t’appelle Rubis, et bien cette pierre précieuse sera ma meilleure amie pour ta tenue.
Peut de temps après, mon équipe et la et elle me maquille d’un rouge rubis sur les paupières avec une pointe d’orange. Mes lèvres sont oranges. Mes joues roses. Ma robe est ornée de rubis rouge qui elle-même est d’un rouge plus clair, elle à une traine de 4 mètres au moins. Mes chaussures sont des talons hauts, rouge. Et pour finir, Logus me pose sur la tête un diadème ornée de rubis. Sublime.
Logus : Tu es prête, Mickael est habillé comme toi, en garçon bien sur.
Rubis : Oui, ça va de soi.
Je monte sur le chariot, Mickael m’aide.
Rubis : Merci.
Mickael : On est rival, mais on à le même chariot.
Je baisse les yeux, mais les relèves aussitôt dès que le chariot commence à avancer. Je salue la foule qui nous acclame, et la je vois ma tête en gros plan sur un écran. Nos chariots avance jusqu'à ce qu’on arrive devant le balcon du président Snow, celui-ci s’avance, nous souhaite la bienvenue.
Snow : Bienvenue, bienvenue. Bienvenue à vous tribut de différents districts. Joyeux 73ème Hunger Games. Et puisse le sort vous être favorable.
« Et puisse le sort vous être favorables » cette phrase résonne dans ma tête jusqu’a ce qu’on arrive à nos loges.
Victoria : Voici vos loges. Ce sont les moins belles mais elles sont très luxueuses. Aller prendre une douche et vous changer avant le dîner.
Je file dans ma chambres, prend une douche, en frottant bien pour m’enlever mon maquillage et je me change pour mettre un pantalon noir et une chemises rouge rubis. Je met les chaussons qui sont à ma dispositions quand Cashmere entre.
Cashmere : Tu es prête pour le dîner ?
Rubis : J’arrive.
Je rejoins la salle à manger où il y a Logus, la styliste de Mickael, Victoria Cashmere et Gloss.
Gloss : Bon, à partir de demain les entrainements commence, pendant trois jours. Donnez tout ce que vous avez à donnez pour impressionner les juges.
Cashmere : Montrer votre potentiel. Vous savez de quoi vous êtes capable.
Gloss : Mickael, c’est le moment d’apprendre à manier une arme, ce que tu veut, mais fait-le.
Mickael : O-ok.
Cashmere : Rubis, continue de t’entrainer avec des massues, il y en à.
Rubis : Je ferais en sorte de les utiliser.
Victoria : Très bien. Nous avons fini le dîner, vous pouvez disposez.
Rubis : Merci, mais je n’ai pas besoin d’ordre pour sortir de table.
Victoria : Eu … et bien je pense que nous devrions aller nous coucher, nous avons beaucoup de chose à faire demain.
Mickael : Bonne nuit.
Rubis : Bonne nuit.
Je retournai à ma chambre et me changea pour me mettre en chemise de nuit. Mickael entra.
Rubis : Q’est-ce que tu veux ? Me tuer avant l’heure ?
Mickael : Je suis venue de dire, que je ne veux plus t’adresser la parole, afin d’éviter le moindre choque qui pourrait nous briser tout les deux.
Rubis : D’accord, très bon choix.
Et il quitta ma chambre sans dire un mot de plus. Je réussi plutôt bien à m’endormir. Le lendemain, Cashmere vint me réveiller.
Cashmere : Premier jour d’entrainement. Aller petit dèj’ !
Rubis : Arf !
Je m’habillai avec la tenue d’entrainement et rejoins les autres pour le petit déjeuner. Mickael n’était pas la.
Rubis : Ou est Mickael ?
Gloss : Il ne veut plus te voir.
Rubis : Hier il m’a juste dit qu’il ne voulait plus me parler.
Gloss : Rubis, les jeux on déjà commencé, mais vous n’êtes pas encore dans l’arène c’est tout. C’est le moment pour les tributs de cibler leurs adversaires.
Victoria : Bon, il faut aller à l’entrainement.
Je me dirige vers l’ascenseur, Mickael n’est pas la. Je regrette d’avoir fait ça. Mais c’est ainsi et pas autrement. J’arrive au gymnase quand Mickael me lance un regard noir. Suivi d’une hache.

Chapitre 2 :
J’évite la hache de peu, elle frôle mon épaule laissant une coupure d’au moins 2 cm de profondeur. Les pacificateurs emportent Mickael. Un docteur arrive tout de suite pour me soigner.
Docteur : La blessure est profonde mais pas infecté, je te mets un bandage. Pas trop d’efforts physique pendant une semaine.
Rubis : Pardon ? Pas d’efforts physique alors que je vais dans les jeux !? On se fout de la gueule de monde la ! Je veux être soigné au plus vite, vous pouvez faire ça au moins non ?!
Docteur : Mademoiselle calmez-vous, le médicament arrive dans deux jours et …
Rubis : Deux jours ! Et l’entrainement alors !
Pacificateur : Mademoiselle arrêtez, allez faire votre entrainement.
Rubis : Un docteur hein, un imposteur plus tôt !
Je retournai à l’entrainement, dans les ateliers pour reconnaitre les plantes qui se mangent. Et aussi celui pour faire des collets. Au bout d’une bonne heure je maitrisai l’art de faire les collets, et de reconnaitre les plantes comestibles ou non. Je me dirigeai à l’atelier pour faire du feu. Plutôt facile, je ne sais pas pourquoi mais plutôt facile. Il y avait aussi un atelier pour monter aux arbres, j’y passai deux heures, et ma plaie me faisait mal. L’entrainement est terminé et on va retournée a nos loges, Cashmere viens me chercher, et Gloss va chercher Mickael. Dans le même ascenseur.
Rubis : Tu ne sais toujours pas viser, et je pense que tu voulais accomplir la mission de me tuer avant l’heure !
Mickael : Mais les jeux ont déjà commencé tu sais.
Rubis : Oui et ils se finiront dans l’arène.
Cashmere : Calmez-vous ! Si vous pouviez rester entier pour vous battre correctement dans l’arène se serait pas mal !
Rubis : De toute façon il a déjà commencé à me découper, alors qu’elle importance !
Gloss : On est arrivé, allez prendre une douche et on va dîner !
Je me rendis dans ma chambre en courant à moitié. Une fois à l’intérieur je m’y enfermai à triple tour et hurla tout ce que je savais. Pourquoi ? Comment j’en suis arrivé la, il y a encore une semaine je vivais paisiblement au district 1, avec ma mère. Maman. Elle me manque, depuis mon arrivé au Capitol je n’ai pas eu le temps d’avoir une seule pensé pour elle. Je me sens minable. Que doit-elle faire ? Elle m’a vue sur mon chariot au défilé et c’est tout. Si elle me voyait avec mon épaule dans un état pareille elle aurait envie de tuer Mickael. Une fois que j’ai fini de hurler, pleurer et me morfondre, je déverrouille ma porte, et deux minutes plus tard une muette entre, déposant un carton. Elle sort et je l’ouvre. Ma tenue de la moisson. Elle sent encore la maison, ma mère, le district 1. Pourquoi m’a-t-on apporté ça ? Je ne sais pas et je n’ai pas envie de le savoir. Une bonne demi-heure plus tard, Cashmere entre.
Cashmere : Le carton t’a évoqué des souvenirs ?
Rubis : Oui, mais pourquoi avoir fait ça ?
Cashmere : On à retrouver tes affaires dans le train, et comme tu n’es pas au meilleur de ta forme j’ai demandé à ce qu’on te l’apporte, pour un peu de réconfort.
Rubis : Merci.
Cashmere : Je te laisse, je vais aller me coucher.
Rubis : Eu … attend … s’il te plait, reste encore un peu avec moi !
Cashmere : D’accord.
Et sans lui demander la permission je lui sautai dans les bras, on s’enlaça un non moment avant que Gloss entre dans la chambre, fou de rage. Il vint s’assoir sur mon lit à coté de nous.
Gloss : J’en ai marre de Mickael. Il n’obéît pas ! Il va mourir dans les jeux et se sera temps pis pour lui !
Cashmere : Gloss, on ne peut pas penser à de tel chose, aller reprend-toi !
Gloss : Excuse-moi, je m’emporte souvent.
Rubis : Et si, on laisser Mickael dans son coin, juste un peu de temps, pour qu’il réfléchisse.
Gloss : D’accord.
Cashmere : Bon on va laisser Rubis tranquille, elle à besoin de sommeil.
C’est sur ces mots que Cashmere me planta un bisou sur le front avant de sortir derrière Gloss. Je me mise en chemise de nuits et me coucha. J’eu beaucoup de mal à m’endormir. Le lendemain, Cashmere vint me réveiller.
Cashmere : 2ème Jour d’entrainement !
Rubis : Je me sens prête, mon épaule va mieux.
Cashmere : Pendant ton sommeil je suis venue te mettre une pommade, regarde ton épaule.
Rubis : Il y a plus rien ! Une trace c’est tout !
Cashmere : On ne peut pas t’envoyer dans les jeux abimée.
Rubis : Merci.
Je m’habillai de la tenue d’entrainement et alla prendre mon petit déjeuner, Mickael était la. Gloss est lui était en grande discussion, je ne les perturbai pas et alla m’assoir entre Victoria et Logus.
Gloss : Bonjour, Rubis.
Rubis : Bonjour, Gloss.
Cashmere : Victoria, tu peux me passer la confiture, s’il te plait.
Victoria : Eu … oui … laquelle ?
Cashmere : La fi …
Mickael : Je suis désolé pour hier Rubis.
Rubis : De toute façon c’est fait, mais merci pour tes excuses.
Victoria : Bon c’est l’heure d’aller à l’entrainement !
Nous nous rendons donc à l’entrainement, je ne pouvais pas m’exercer aux armes mais j’avais encore beaucoup à apprendre au sujet de la nature. Pendant que je faisais un hameçon, je vis Mickael qui essaya de lancer un couteau, ce couteau à faillit atterrir dans la tête d’un tribut. Un véritable danger public ce Mickael. Le tribut en question était une fille, aux alentours des dix-sept ans, elle est du sept. Pas très futé. Le couteau allait droit sur elle, et elle courait droit dans le mur. Au final elle ce les prise. C’était plutôt marrant, on a entendu un gros BOUM et on l’a vu s’écrasait contre le mur et est tomber par terre. Des rires étouffés se firent entendre, mais en réalité elle s’était évanouie. On l’emmena sur un lit d’hôpital. Dès qu’elle fut partie, chacun repris son activité. La fin de l’entrainement vint, et chacun retourna à son appartement. Une fois arriver je file dans ma chambre me changer et me prendre une douche. Ma douche finit je rejoins les autres pour le dîner. Gloss demanda pourquoi à Mickael il a faillit tuer une gamine, il lui répondit « C’est le manque d’expérience », la réponse la plus minable, surtout pour quelqu’un du dictrict 1 ! Le repas finit j’allai me coucher. Le lendemain fut rude, surtout au réveil, je n’avais presque pas dormi de la nuit. Je m’habillai donc de mon habit pour l’entrainement, aujourd’hui c’est le troisième jour et le dernier. Nous nous rendîmes à l’entrainement. Et je m’entrainai avec mas massues, ce sont comme des gros marteaux mais beaucoup plus lourd et plus fatale. J’eu le coup de foudre pour cet arme dès que je suis entré dans le centre d’entrainement du un, je l’ai vue et j’ai tout de suite eu envie de l’essayer. Maintenant j’en suis la, tandis que la mort me guette. En plein milieu de l’entrainement alors que je m’exercer aux armes, Mickael vint et me planta un baiser sur mes lèvres abimé. Je le repoussai et failli le frapper de toute mes forces avec mes massues, mais je me retins. Je me contentai de lui hurler dessus à en perdre haleine. Les pacificateurs finir par arriver et ramenaient Mickael a l’appart je suppose. Une fois l’entrainement fini je rentrai toujours dégouter par ce baiser voler, une fois arriver comme à mon habitude je filai sous la douche et me changea. Je ne pris pas de diner mais je me rendis au salon pour voir mon score à l’entrainement, Caesar passe à la télévision et arrive enfin l’heure des score, le silence est rude dans la salle, soudain je vois apparaitre la photo de Mickael à l’écran, il obtient le score de 2. Je savais qu’il allait avoir une mauvaise note mais à ce point la, cela fait de lui une proie facile. Puis ma photo, j’obtiens le score de 10. Tout le mon est surexciter. Mais je suis trop fatiguer pour continuer à suivre l’émission alors je vais me coucher, peu de temps après Cashmere entre et s’assied sur le bord de mon lit.
Cashmere : Salut.
Rubis : Salut.
Cashmere : J’ai appris pour ce que Mickael t’a fait, il est vraiment stupide.
Rubis : Ce n’est pas grave, de toute façon il sera mort dans moins de deux jours.
Cashmere : Peut être, mais en tant que mentor je ne lui souhaite pas de mourir si vite.
Rubis : Je comprends.
Cashmere : Bon je vais te laisser dormir, demain sera rude pour toi.
Je m’endormis presque aussitôt. Le lendemain matin, je me réveillai vers 5H30 du matin. Personne n’était levé, je mis une chemise avec un pantalon, rien d’extravagant, Aujourd’hui c’est le jour de l’interview avec Caesar Flickerman. Vint l’heure du petit déjeuner, tout le monde est la, les mentors, les stylistes et Victoria aussi (comme d’habitude). Mes préparateurs me prépare et enfin vient l’heure de l’essayage de ma tenue, une magnifique robe en soie rouge, brodée de rubis, je n’ai pas de diadème mais un magnifique chignon sur le haut de ma tête avec quelque paillettes rouges rubis, mes chaussures sont des talons hauts Doré, comme la ceinture de ma robe. Je suis prête, enfin nous sommes prêts, nous sommes en file indienne en train d’attendre que l’émissions commence, je suis la première à passé, les dames d’abord. J’entre sur le plateau et Caesar m’accueille chaleureusement. Je m’assois sur le fauteuil à coté de Caesar.
Caesar : Bonjour Rubis. Alors cela fait bien longtemps que nous n’avons pas revue de brune venant du District un. Tu le vie comment dans ton district ?
Rubis : Normalement, comme une brune si je puis dire.
Il rigola bruyamment en exagérant un peu.
Caesar : Bon passe au jeu, stressé ?
Rubis : Et bien je ne sais pas si je suis stressé mais j’ai déjà une odeur de mort qui me provient de l’arène.
Caesar : Ne t’inquiète pas, personne ne voudra tuer une fille aussi jolie que toi.
Rubis : Oh Caesar ! Vous me flattez !
Je rigolai et lui aussi.
Caesar : Bon je pense que tu as un petit ami, Non ?
Rubis : Et bien je ne pense pas trop au garçon.
Caesar : Et bien c’est vraiment dommage. Je vous demande un tonnerre d’applaudissement pour Rubis Luxus su district 1 !
La foule m’applaudit et je sors du plateau.
Cashmere : Tu étais parfaite !
Rubis : Merci.
Je m’assois en attendant que les autres interviews passent. Quand ils sont tous passé on retourna à l’appart nous changer avec nos tenues d’entrainement. Une fois ceci fait, je vais vois Cashmere et je la sers dans bras.
Rubis : Merci. Et au r…
Cashmere : Non ! Tu vas revenir vivante !
Rubis : D’accord.
Et c’est sur ces mots que je me rendis à l’hovercraft accompagné de Logus.