Aimer à perdre la raison

Voilà, je viens d'écrire un tout petit passage d'une fic en UA donc bon, j'espère qu'elle vous plaira ^^

Je ne le savais que trop bien. Cela ne durerait pas. Mais je ne pensais pas qu'il me quitterait aussi tôt.
Je rentrais dans le petit appartement que j'occupais avec lui. Aussitôt, je remarquais le paisible silence qui m'entourait. J'étais si surpris. D'habitude, un peu de bruit se faisait toujours entendre. Mais peut-être dormait-il. Ou alors me réservait-il une petite surprise. Tout un tas de pensées perverses envahirent mon cerveau. Je les laissais m'emporter dans la rêverie la plus totale. Cato posant ses mains sur mon corps complètement nu. Un frisson parcourant mon échine. C'est fou ce que j'aimais quand il me faisait ce genre de choses. Je me surpris, adossé contre un mur, poussant de petits gémissements plaintifs. M'avait-il entendu ? Une gêne me prit.

Mes peurs furent très vite dissipées lorsque que je fouillais l'appartement de fond en comble à sa recherche. Personne. Je fus enfin rassuré. Il ne m'avait laissé qu'un mot, trônant sur mon oreiller, à la droite du lit. J'avais l'habitude qu'il fasse ça. Partir en ne me laissant qu'une lettre pour ne pas m'inquiéter. Je pris alors le morceau de papier et me rendis dans la salle de bain où je me regardais dans le miroir avant de le déplier. Le texte était assez long, une chose assez inhabituelle chez lui.

"Je pars. Sans doute ne reviendrais-je jamais. Je suis désolée de ne pas t'avoir parlé une dernière fois avant cela mais tel est mon devoir. Je ne peut rester plus longtemps auprès de toi. Je ne veux pas te faire souffrir. Mais je ne veux pas non plus souffrir. Rester plus longtemps à tes cotés n'aurait que rendu plus difficile la tâche que j'ai à présent accomplie. Tu sais que je t'aime et que jamais mon amour pour toi ne cessera peu importe la distance qui nous sépare. J'espère qu'il en sera de même pour toi.

Tu sais que la vie ne nous réserve jamais de cadeau. Et bien en voilà la preuve. Je suis obligée de partir. Ne pars pas à ma recherche, je quitte aussi la ville. Tu ne me retrouveras jamais.
Mais tu sais qu'au fond de moi, au fond de mon coeur, tu seras toujours là.
Je t'aime, Cato"

Mon visage se décomposait à mesure que je lisais ses mots. Comment avait-il pu écrire ce genre de chose. Je me cantonais à croire qu'il l'avait fait sous la torture mais il n'y avait pas la moindre trace d'un éventuel stress dans ses lettres. Pas la moindre rature. Je ne voulais pas croire qu'il me faisait vraiment ça. Je me regardais dans le miroir en face de moi, baissais de nouveau les yeux et attrapa vivement la lame de rasoir posée sur le coté du lavabo. Je ne voulais pas vivre sans lui. Je ne pouvais pas vivre sans lui. Plutôt mourir que de rester en vie s'il n'était plus avec moi. Je l'aimais trop pour ça.

Rah, c'est malin, je me demande qui est le narrateur/narratrice...

Vais-je être salope et ne poster la suite que dans quelques mois ? Nan je ferais pas ça... Mais je te laisse deviner... =P

C'est super, t'es douée je trouve! C'est bien écrit.

Je crois avoir compris qui est le/la narrateur(trice)....

Par contre je trouve Cato vraiment salaud! C'est genre "je couche avec toi mais aprés je te laisse comme une merde parce que je ne veux pas te faire souffrir..." Genre l'excuse! Pourquoi coucher pour après abandonner la personne si c'est pas pour faire souffrir!

J'ai une idée de qui pourrai être le narrateur,...
Tu écris vraiment bien ! La lettre de Cato est magnifique !
J'ai hâte de lire la suite !!!
tu penses que tu publieras tous les combien ??

C'est vrai que tu écrit plutôt bien je n'ai aucune idée d qui est le narrateur
J'ai remarque qu'il y a une petite nouvelle sur le forum par contre!!!!

Poster tous les combiens... J'en sais trop rien... Des que je pourrais... Parce que entre les cours, les revisions pour le bac blanc de décembre et mes cours de tir à l'arc... Ben j'ai des journees bien remplies quoi ^^
Sinon, dites moi a qui vous pensez que je me fasses une idee ..

Pour ceux qui me demandait, je devrais poster une petite partie en plus cette nuit ou en tous les cas ce week end si j'ai pas le temps ou l'énergie nécessaire pour écrire ce soir... ^^

Voilà, chose promise,chose due :

C'était toujours la même chose avec moi. je vis une belle histoire. J'y crois. Et tout tombe en miettes. Il faut croire que le destin m'en veut. Je mets toujours quelques mois à me refaire à une vie normale, retrouver quelqu'un et recommencer toujours la même chose. Mais là, je sais que je n'y arriverais pas. Cato était le seul qui me faisait me sentir bien en moi. Bien au quotidien. J'aimais quand il était avec moi. Mais j'aimais aussi me retrouver seul de temps à autres. J'avais enfin trouvé un juste milieu. Trouvé quelqu'un avec qui je voulais passer ma vie. Mais comme toujours, le destin en a décidé autrement. Il avait encore fallu qu'il s'en aille.

Je me regardais dans le miroir, me demandant pourquoi il me laissait seul. Mais il devait avoir des raisons. Je prenais mon téléphone dans la poche de mon jean et composai le numéro de mon cher et tendre. Une, deux,trois, quatre sonneries. Mais toujours personne au bout du fil. Messagerie vocale.

"Salut chéri. C'est moi. Appelle moi vite. Faut qu'on parle tous les deux."

Je savais au fond de moi qu'il ne me rappellerait pas. Mais je ressentais le besoin d'avoir l'impression de faire quelque chose pour qu'il revienne. Jamais ça n'était arrivé avant, mais je pleurais. Je l'aimais tellement. C'était le seul qui me faisait me sentir ainsi. Je voulais entendre sa voix. Une dernière fois. Faire le plein de lui avant qu'il ne m'abandonne pour toujours. Je voudrais plutôt qu'il ne m'abandonne jamais en réalité. Mais la vérité est toute autre et me voiler la face ne fera que rendre plus dur la tâche qu'il m'est imposé : l'oublier. Pour toujours.

Mais que faire pour l'oublier ? Rien. Voilà ce qu'il me faut faire. Je ne VEUX PAS l'oublier. Plutôt mourir que de faire une chose pareille. Mes pensées m'envahirent en quelques secondes. Mais mon portable vibra dans ma main. L'espoir me submergea. Je voulais que ce soit lui. Mais c'était ma mère. Elle m'appelait. Je laissais le téléphone sonner. Si elle savait ce qu'elle m'énervait à m’appeler toutes les heures, tous les jours. Elle voudrait tellement me parler. Mais ce n'est pas mon cas. Alors je décline l'appel une fois de plus.

Je regarde la lame de rasoir que je tiens toujours entre mes doigts. Du sang coule le long de mon pouce. Je me suis coupé et je n'ai rien ressenti. Peut être devrais-je recommencer. Je prends alors la lame en posant le coté tranchant le long de mon avant bras. J'appuie de toutes mes forces. Le sang coule à flot. Je tombe à genoux. J'ai mal. Mais la douleur s'estompe petit à petit. Alors je recommence pour me faire souffrir et essayer d'oublier les dernières heures que je viens de vivre. Mais cette fois, je me coupe de l'autre coté, là où les veines se voient. Là où le sang coulera plus. Je coupe. Plusieurs fois même. Je suis dégoûtée de la personne que je suis.

La tête me tourne. Que faire ? La seule chose qui me vient à l'esprit est de couper encore et encore. Je tombe. Allongé à terre, je regarde le plafond sans savoir à quoi penser. Ou plutôt à qui. Les larmes ruissellent sur mes joues. Mais mon téléphone vibre une nouvelle. Encore ma mère ! Mais non, cette fois, c'est lui. L'occasion inespérée de lui parler de nouveau. Je décroche. Il me parle mais une seule phrase réussie à sortir de ma bouche : "Je suis mort". Et c'est intercalé de sanglots, étouffés dans ma douleur.

Les gens, sans déconner, c'est hyper frustrant de pas avoir de commentaires alors que mercredi, on me demandait la suite ^^'

Franchement, c'est pas cool *désespoir*

Voilà voila!
(roh, ces auteurs..)
Le narrateur, c'est... Peeta?

Bien joué... Je suis en total love avec le couple Peeta/Cato en ce moment.
Ils sont juste trop choux ensemble ^^

--' tu écrit bien mais euh... juste une question comment ils ont fait pour etre ensemble avant les jeux? C'est pas logique.
comme je te l'ai dit tu écrit bien mais juste je vais continué a lire mais c'est pas trop mon truc tes histoire mais aprés chacun son point de vu!

Comment ça être ensemble avant les Jeux ?
Y a pas de Jeux dans cette fic là puisque c'est UA ou Univers Alternatif donc c'est juste les personnage de Suzanne Collins dans un autre monde, dans notre monde comme on le connait

Yahoo ok je n'avait pas compris --'

bah c'est plus pratique d'écrire en UA pour faire du Cato/Peeta parce qu'il sont pas censés se connaitre avant les Jeux

Je crois que je te l'ai déjà dis sur un autre topic a propos d'une autre de tes fics mais...t'écris vraiment super bien ! Je me suis totalement enfoui dans l'histoire même si les passages étaient assz courts, en quelques lignes..t'a...t'arrive tellement bien ) écrire ! :DD
Bon, je me calme. Franchement, j'ai trouvé le début assez spécial surtout le passage un peu "osé" même s'il ne se passe rien (à part ces gémissements). Mais j'ai adoré.
J'étais sur que c'était Peeta !

Bah j'adore mettre Peeta dans des situations génantes mais je suis capable de lui faire subir des trucs pires questions perversité ! Sinon j'arrive aussi à écrire du SM ou des trucs tout guimauves... Si vous voulez j'ewsairai de poster la suite (réaction de Cato tout ça) dans la semaine... J'ai une heure d'histoire demain ça devra faire

Ok super !

En fait, j'ai pas écrit en histoire... On regardai un film et dans le noir c'est pas terrible pour écrire donc j'essairai de vous faire ça avant la fin de semaine ^^

Voilà voilà... Dans un élan d'inspiration, j'ai réussi à pondre quelque chose. En espérant que ce soit potable tout de même ^^


Je baissais la tête vers mon bras, regardant le sang couler dans ma main, teintant le carrelage d'une couleur rouge sombre. Je sentais mon esprit partir doucement vers un autre monde. La mort me tendait gentiment ses bras. Mes yeux se fermaient vivement sous l'effet de la tenaillante douleur qui me secouait le poignet, remontant jusque dans mon épaule. Je serrais fortement mes paupières, lançant maintenant une douleur vive dans ma tête. Je sentais les battements de mon coeur s'accélérer. Mais malgré tout ça, je résistais. Mon coeur ne voulait pas s'arrêter de battre. Laisser mon âme partir au ciel. Me laisser en paix avec moi-même.

Enfin, je pus partir. Je voyais la fameuse lumière dont certaines personnes parlait. Je pris un peur lorsque que je vis mon propre corps vu du dessus. C'était tellement effrayant de savoir que j'étais mort.

Je voyais ma vie défiler devant mes yeux. Le jour de mon dixième anniversaire. Mes premiers petits amis, et mes échecs aussi. Et LUI. Lui, celui que j'ai toujours aimé. En secret. Le jour où il est venu me voir. Le jour où on s'est embrassés pour la première fois. Et plein d'autres jours. Je ne pensais pas en finir comme ça un jour. Mon âme montait. J'étais mort. Mort pour lui.

Mais quelqu'un vint de me tirer de cette douce torpeur mortelle. J'entend une voix. Elle se fait de plus en plus forte. Quelqu'un crie. Un homme. Il crie mon nom.

" -Peeta !!! Peeta ?!!"

J'ai déjà entendu cette voix avant. Elle ne m'est pas étrangère. Comme si je connaissais cette personne depuis longtemps. Il pleure. Mon épaule se mouille de larmes. Ces sanglots.... Je les reconnaîtrais entre tous. Ce sont les siens. Cato !

J'aimerais tellement le serrer dans mes bras. Mais mes forces m'ont abandonnées au moment même où j'ai enfoncé la lame dans mon bras. Je ne me souviens pas de grand chose. Juste d'une douleur. Toujours présente puisqu'une personne appuie fortement sur mes poignet pour stopper l’hémorragie. Il veut me sauver. Il est revenu pour me sauver.

Et pour ceux qui se le demande, oui j'adore m'arrêter comme ça à chaque fois. C'est super sadique et j'aime...

Je crois qu'au fond, on est tous sadiques B)
J'espère que la prochaine fois que je passerais sur le forum, il y aura la suite (en gros, tu peut prendre ton temps :p ).

Bah surtout qu'en ce moment... J'arrive plus tellement à écrire... Un peu mais voilà... Je suis dans une passe sentimentale un peu compliquée et je dois avouer que ça perturbe mes fics... T-T Les ex qui revienne c'est toujours un peu dur

Je te comprends, je suis perturbée en ce moment mais pas pour cette raison.
J'ai pas d'ex moi. Ni de copain (a)